Ici on noya les algériens

Par : Fabrice Riceputi

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  • Nombre de pages346
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.244 kg
  • Dimensions11,1 cm × 18,0 cm × 2,4 cm
  • ISBN978-2-36935-585-4
  • EAN9782369355854
  • Date de parution13/09/2024
  • ÉditeurLe Passager Clandestin
  • PréfacierEdwy Plenel
  • PréfacierGilles Manceron

Résumé

"Sous le pont Saint-Michel coule le sang". Paris, 17 octobre 1961, 20 h 30. A cinq mois de la fin de la guerre d'Algérie, des dizaines de milliers d'Algériens, hommes, femmes et enfants, manifestent pacifiquement contre le couvre-feu qui leur est imposé par le préfet de police Maurice Papon. La répression est d'une violence inouïe : onze mille personnes sont raflées, brutalisées et détenues dans des camps improvisés. Plus d'une centaine sont "noyées par balles" dans la Seine. Pourtant, le lendemain, les rapports officiels ne font état que de deux morts. Face à ce mensonge d'Etat, un "simple citoyen" se fait chercheur. Il s'appelle Jean-Luc Einaudi. Pendant trente ans, ce "héros moral" surmonte les obstacles - omerta, archives verrouillées, procès... - pour faire connaître et reconnaître le crime d'Etat. C'est cette bataille intellectuelle, judiciaire et politique que retrace Fabrice Riceputi dans un récit documenté et passionnant.
"Sous le pont Saint-Michel coule le sang". Paris, 17 octobre 1961, 20 h 30. A cinq mois de la fin de la guerre d'Algérie, des dizaines de milliers d'Algériens, hommes, femmes et enfants, manifestent pacifiquement contre le couvre-feu qui leur est imposé par le préfet de police Maurice Papon. La répression est d'une violence inouïe : onze mille personnes sont raflées, brutalisées et détenues dans des camps improvisés. Plus d'une centaine sont "noyées par balles" dans la Seine. Pourtant, le lendemain, les rapports officiels ne font état que de deux morts. Face à ce mensonge d'Etat, un "simple citoyen" se fait chercheur. Il s'appelle Jean-Luc Einaudi. Pendant trente ans, ce "héros moral" surmonte les obstacles - omerta, archives verrouillées, procès... - pour faire connaître et reconnaître le crime d'Etat. C'est cette bataille intellectuelle, judiciaire et politique que retrace Fabrice Riceputi dans un récit documenté et passionnant.