Histoire de la pensée économique. XVIIIe-XXe siècles
2e édition revue et augmentée
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- Nombre de pages307
- PrésentationBroché
- Poids0.543 kg
- Dimensions22,5 cm × 15,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-3-7255-5938-1
- EAN9783725559381
- Date de parution16/02/2010
- CollectionManuel économie et gestion
- ÉditeurSchulthess
Résumé
Les crises actuelles remettent en cause le bien-fondé de l'enseignement de l'économie tel qu'il est pratiqué dans la majorité des facultés européennes. La population peut s'interroger sur l'intérêt d'une science qui semble incapable de prendre en compte la question des équilibres naturels et les conséquences de la déréglementation financière. La thèse centrale de ce livre impute cette impuissance à une dégénérescence de la discipline.
Une science est un ensemble de connaissances étendues sur un objet d'intérêt général. Beaucoup d'économistes contemporains ont abandonné cet objet qui est l'activité de production et d'échange et ne sont intéressés qu'à une technique de nature mathématique, le calcul des avantages et désavantages de l'action humaine. Cette technique est fondée sur une morale particulière : l'utilitarisme. Ce livre présente une vision différente.
Depuis sa naissance au 18e siècle jusqu'aux écrits de K. Marx, J.M. Keynes et F. Hayek, l'économie politique est une science morale. Elle prend en compte des faits et une pluralité de valeurs.
Une science est un ensemble de connaissances étendues sur un objet d'intérêt général. Beaucoup d'économistes contemporains ont abandonné cet objet qui est l'activité de production et d'échange et ne sont intéressés qu'à une technique de nature mathématique, le calcul des avantages et désavantages de l'action humaine. Cette technique est fondée sur une morale particulière : l'utilitarisme. Ce livre présente une vision différente.
Depuis sa naissance au 18e siècle jusqu'aux écrits de K. Marx, J.M. Keynes et F. Hayek, l'économie politique est une science morale. Elle prend en compte des faits et une pluralité de valeurs.
Les crises actuelles remettent en cause le bien-fondé de l'enseignement de l'économie tel qu'il est pratiqué dans la majorité des facultés européennes. La population peut s'interroger sur l'intérêt d'une science qui semble incapable de prendre en compte la question des équilibres naturels et les conséquences de la déréglementation financière. La thèse centrale de ce livre impute cette impuissance à une dégénérescence de la discipline.
Une science est un ensemble de connaissances étendues sur un objet d'intérêt général. Beaucoup d'économistes contemporains ont abandonné cet objet qui est l'activité de production et d'échange et ne sont intéressés qu'à une technique de nature mathématique, le calcul des avantages et désavantages de l'action humaine. Cette technique est fondée sur une morale particulière : l'utilitarisme. Ce livre présente une vision différente.
Depuis sa naissance au 18e siècle jusqu'aux écrits de K. Marx, J.M. Keynes et F. Hayek, l'économie politique est une science morale. Elle prend en compte des faits et une pluralité de valeurs.
Une science est un ensemble de connaissances étendues sur un objet d'intérêt général. Beaucoup d'économistes contemporains ont abandonné cet objet qui est l'activité de production et d'échange et ne sont intéressés qu'à une technique de nature mathématique, le calcul des avantages et désavantages de l'action humaine. Cette technique est fondée sur une morale particulière : l'utilitarisme. Ce livre présente une vision différente.
Depuis sa naissance au 18e siècle jusqu'aux écrits de K. Marx, J.M. Keynes et F. Hayek, l'économie politique est une science morale. Elle prend en compte des faits et une pluralité de valeurs.