George Cheyne, médecin de son siècle (1672-1743). Malaise dans la civilisation anglaise

Par : Jean Viviès
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  • Nombre de pages124
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.209 kg
  • Dimensions15,9 cm × 23,9 cm × 0,7 cm
  • ISBN979-10-320-0429-6
  • EAN9791032004296
  • Date de parution14/02/2023
  • CollectionCorps & âmes
  • ÉditeurPU de Provence

Résumé

Cet essai propose une réflexion sur La maladie anglaise (The English Malady), ouvrage célèbre publié en 1733 du médecin écossais George Cheyne sur les maladies nerveuses et leurs effets sociaux et culturels, et qui est un jalon marquant du XVIIIe siècle britannique. C'est un livre sur Cheyne mais aussi un essai à partir de Cheyne qui en donne une lecture à la croisée de l'histoire de la médecine, de l'histoire des idées et de la littérature. Si l'essai est documenté, et éclairé par les spécialistes reconnus du domaine, il est aussi orienté par une optique de réception, par définition postérieure. Si le texte de Cheyne s'éclaire par ses sources et par son contexte professionnel, intellectuel, littéraire et biographique, sa lecture en est mise en perspective par sa féconde postérité médicale, scientifique, sociologique et philosophique. Il s'éclaire aussi depuis un autre point d'entrée, externe au monde britannique. Sont convoqués les travaux de Starobinski, les analyses philosophiques et sociologiques de Duilcheim, Bourdieu, Foucault, Canguilhem, Barthes et d'autres. "Ce que Freud a été pour Vienne à la fin du XIXe siècle, George Cheyne l'a été pour les maladies à la mode du rue siècle" (Roy Porter). Le sous-titre proposé fait écho à cette analogie, par son allusion au grand texte de Sigmund Freud, Malaise dans la civilisation.
Cet essai propose une réflexion sur La maladie anglaise (The English Malady), ouvrage célèbre publié en 1733 du médecin écossais George Cheyne sur les maladies nerveuses et leurs effets sociaux et culturels, et qui est un jalon marquant du XVIIIe siècle britannique. C'est un livre sur Cheyne mais aussi un essai à partir de Cheyne qui en donne une lecture à la croisée de l'histoire de la médecine, de l'histoire des idées et de la littérature. Si l'essai est documenté, et éclairé par les spécialistes reconnus du domaine, il est aussi orienté par une optique de réception, par définition postérieure. Si le texte de Cheyne s'éclaire par ses sources et par son contexte professionnel, intellectuel, littéraire et biographique, sa lecture en est mise en perspective par sa féconde postérité médicale, scientifique, sociologique et philosophique. Il s'éclaire aussi depuis un autre point d'entrée, externe au monde britannique. Sont convoqués les travaux de Starobinski, les analyses philosophiques et sociologiques de Duilcheim, Bourdieu, Foucault, Canguilhem, Barthes et d'autres. "Ce que Freud a été pour Vienne à la fin du XIXe siècle, George Cheyne l'a été pour les maladies à la mode du rue siècle" (Roy Porter). Le sous-titre proposé fait écho à cette analogie, par son allusion au grand texte de Sigmund Freud, Malaise dans la civilisation.
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