Gabriel Andral, pionnier de l'hématologie. La médecine dans le sang

Par : Roger Teyssou

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  • Nombre de pages410
  • PrésentationBroché
  • Poids0.645 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-336-00612-3
  • EAN9782336006123
  • Date de parution02/11/2012
  • CollectionActeurs de la Science
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Gabriel Andral (1797-1876), professeur de pathologie médicale à la faculté de médecine de Paris, membre de l'Académie de médecine et de l'Académie des sciences, est un des personnages les plus représentatifs de la médecine française de l'époque romantique et des débuts de l'ère industrielle. Né à Paris, le 6 novembre 1797, il appartenait à une longue lignée de chirurgiens et de médecins installés dans le Lot.
Ses travaux sur les maladies du sang, qui font de lui le créateur de l'hématologie, ne représentent qu'une partie d'une activité scientifique considérable tant dans le domaine de la physiologie que dans celui de l'anatomopathologie et de la clinique. Son cours d'histoire de la médecine mérite également d'être mentionné. Rappelons qu'Emile Littré et Jules Gavarret furent ses élèves. Ce livre rappelle cette belle carrière d'un honnête homme, comme on l'entendait au siècle des Lumières et d'un savant, émule de Laënnec.
Toujours, chez lui, l'humanisme le disputa à l'éclectisme.
Gabriel Andral (1797-1876), professeur de pathologie médicale à la faculté de médecine de Paris, membre de l'Académie de médecine et de l'Académie des sciences, est un des personnages les plus représentatifs de la médecine française de l'époque romantique et des débuts de l'ère industrielle. Né à Paris, le 6 novembre 1797, il appartenait à une longue lignée de chirurgiens et de médecins installés dans le Lot.
Ses travaux sur les maladies du sang, qui font de lui le créateur de l'hématologie, ne représentent qu'une partie d'une activité scientifique considérable tant dans le domaine de la physiologie que dans celui de l'anatomopathologie et de la clinique. Son cours d'histoire de la médecine mérite également d'être mentionné. Rappelons qu'Emile Littré et Jules Gavarret furent ses élèves. Ce livre rappelle cette belle carrière d'un honnête homme, comme on l'entendait au siècle des Lumières et d'un savant, émule de Laënnec.
Toujours, chez lui, l'humanisme le disputa à l'éclectisme.