Frederick Wiseman, chroniqueur du monde occidental
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- Nombre de pages252
- PrésentationBroché
- Poids0.44 kg
- Dimensions16,0 cm × 22,5 cm × 1,5 cm
- ISBN2-204-08292-9
- EAN9782204082921
- Date de parution07/12/2006
- Collection7e Art
- ÉditeurLe Cerf/Corlet
- PréfacierJean-Jacques Bernard
Résumé
Depuis la fin des années 60, le cinéaste américain Frederick Wiseman a développé, grâce à la télévision de service public aux Etats-Unis, une œuvre exceptionnelle de quelque trente-cinq longs métrages documentaires, de Titicut Follies à Public Housing, en passant par High School, Law and Order ou Deaf and Blind. Les institutions qu'il filme en début de carrière - prison, hôpital, lycée, caserne, centre d'aide sociale, etc.
- portent des problèmes complexes que le cinéaste va " accoucher ", non sans humour ; lourdeurs, conformisme, inégalités, pesanteurs avouées ou inavouées de la société américaine (et de la nôtre !) construisent-elles l'image du " rêve américain " ou du " cauchemar climatisé " ? L'une et l'autre, tout en y apportant une interrogation bien plus large sur la condition humaine. Au fil du temps, cette œuvre est devenue un classique du monde occidental puisque, pour nous autres Européens, rien de ce qui est nord-américain ne nous est véritablement étranger.
- portent des problèmes complexes que le cinéaste va " accoucher ", non sans humour ; lourdeurs, conformisme, inégalités, pesanteurs avouées ou inavouées de la société américaine (et de la nôtre !) construisent-elles l'image du " rêve américain " ou du " cauchemar climatisé " ? L'une et l'autre, tout en y apportant une interrogation bien plus large sur la condition humaine. Au fil du temps, cette œuvre est devenue un classique du monde occidental puisque, pour nous autres Européens, rien de ce qui est nord-américain ne nous est véritablement étranger.
Depuis la fin des années 60, le cinéaste américain Frederick Wiseman a développé, grâce à la télévision de service public aux Etats-Unis, une œuvre exceptionnelle de quelque trente-cinq longs métrages documentaires, de Titicut Follies à Public Housing, en passant par High School, Law and Order ou Deaf and Blind. Les institutions qu'il filme en début de carrière - prison, hôpital, lycée, caserne, centre d'aide sociale, etc.
- portent des problèmes complexes que le cinéaste va " accoucher ", non sans humour ; lourdeurs, conformisme, inégalités, pesanteurs avouées ou inavouées de la société américaine (et de la nôtre !) construisent-elles l'image du " rêve américain " ou du " cauchemar climatisé " ? L'une et l'autre, tout en y apportant une interrogation bien plus large sur la condition humaine. Au fil du temps, cette œuvre est devenue un classique du monde occidental puisque, pour nous autres Européens, rien de ce qui est nord-américain ne nous est véritablement étranger.
- portent des problèmes complexes que le cinéaste va " accoucher ", non sans humour ; lourdeurs, conformisme, inégalités, pesanteurs avouées ou inavouées de la société américaine (et de la nôtre !) construisent-elles l'image du " rêve américain " ou du " cauchemar climatisé " ? L'une et l'autre, tout en y apportant une interrogation bien plus large sur la condition humaine. Au fil du temps, cette œuvre est devenue un classique du monde occidental puisque, pour nous autres Européens, rien de ce qui est nord-américain ne nous est véritablement étranger.