François-Vincent Raspail. Apôtre de la république et de la science

Par : Jean-Pierre Dadoune

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  • Nombre de pages246
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.305 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-14-032374-4
  • EAN9782140323744
  • Date de parution16/02/2023
  • CollectionActeurs de la Science
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

François Vincent Raspail (1794-1878), républicain irréductible, s'est opposé avec constance et opiniâtreté à tous les régimes qui se sont succédés depuis la Restauration, avant d'être nommé en 1876, en tant que doyen d'âge, président de l'Assemblée nationale de la toute jeune Troisième République. Son combat résolu pour la démocratie et l'instauration d'une République sociale a posé les bases de bon nombre de réformes politiques et sociales qui deviendront effectives après sa mort.
Il s'est affirmé très tôt comme un savant visionnaire, en soutenant dès 1827 que la cellule est l'unité élémentaire de la matière vivante aussi bien végétale qu'animale. Il a fondé une nouvelle science, l'histochimie, qui permet d'analyser la composition chimique des cellules sur la platine du microscope. De façon plus générale, il a été un artisan du décloisonnement des disciplines scientifiques.
Enfin, il a été le promoteur d'une véritable médecine sociale qui a trouvé un écho dans les couches sociales les plus défavorisées. On lui doit d'avoir préconisé des règles d'hygiène personnelle et sociale qui n'étaient pas encore à l'ordre du jour, et d'avoir ouvert la voie à la pratique de l'asepsie et de l'antisepsie en milieu chirurgical.
François Vincent Raspail (1794-1878), républicain irréductible, s'est opposé avec constance et opiniâtreté à tous les régimes qui se sont succédés depuis la Restauration, avant d'être nommé en 1876, en tant que doyen d'âge, président de l'Assemblée nationale de la toute jeune Troisième République. Son combat résolu pour la démocratie et l'instauration d'une République sociale a posé les bases de bon nombre de réformes politiques et sociales qui deviendront effectives après sa mort.
Il s'est affirmé très tôt comme un savant visionnaire, en soutenant dès 1827 que la cellule est l'unité élémentaire de la matière vivante aussi bien végétale qu'animale. Il a fondé une nouvelle science, l'histochimie, qui permet d'analyser la composition chimique des cellules sur la platine du microscope. De façon plus générale, il a été un artisan du décloisonnement des disciplines scientifiques.
Enfin, il a été le promoteur d'une véritable médecine sociale qui a trouvé un écho dans les couches sociales les plus défavorisées. On lui doit d'avoir préconisé des règles d'hygiène personnelle et sociale qui n'étaient pas encore à l'ordre du jour, et d'avoir ouvert la voie à la pratique de l'asepsie et de l'antisepsie en milieu chirurgical.