Elle est belle la vie. Dialogues avec Virgil, un homme simple et remarquable

Par : Jean Bouchart d'Orval

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  • Nombre de pages231
  • PrésentationBroché
  • Poids0.318 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,6 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-89239-346-0
  • EAN9782892393460
  • Date de parution29/06/2012
  • ÉditeurLouise Courteau

Résumé

Les dialogues avec Virgil sont uniques et tout à fait remarquables. Très peu ont eu la chance de côtoyer cet homme touché par une grâce inouïe en 1991. Il a tracé un chemin de vie, de probité et de joie profonde. De tous les êtres humains que j’ai côtoyés dans ma vie, incluant tous les enseignants spirituels d’Orient et d’Occident, Virgil est le seul en qui je n’ai jamais décelé de feinte : je ne l’ai jamais surpris à tricher ni avec lui-même ni avec les autres.
Pour Virgil, la vie spirituelle commence par l’honnêteté envers soi-même. S’il l’avait souhaité, il aurait pu devenir célèbre et riche, très riche et très célèbre. En voyant tous les « imposteurs » qui pullulent sur le marché pseudo spirituel, il aurait été justifié de s’afficher publiquement, mais il considéra toujours que tel n’était pas son rôle. Il fustigeait énergiquement le cirque « spirituel » moderne, tant en Inde qu’en Occident, comme étant une disgrâce, une calamité, une exploitation de la misère humaine et de la recherche sincère.
Ses paroles sont bien peu de choses comparées à sa présence vivante, mais nous avons gardé leur parfum de simplicité et de vérité parfois cinglante. Ses propos sont percutants parce que chargés de cette clarté-lucidité dont il parlait souvent. Virgil n’a jamais écrit un mot et n’a jamais enseigné. Il a partagé, simplement, gratuitement, dans la limpidité et la transparence.
Les dialogues avec Virgil sont uniques et tout à fait remarquables. Très peu ont eu la chance de côtoyer cet homme touché par une grâce inouïe en 1991. Il a tracé un chemin de vie, de probité et de joie profonde. De tous les êtres humains que j’ai côtoyés dans ma vie, incluant tous les enseignants spirituels d’Orient et d’Occident, Virgil est le seul en qui je n’ai jamais décelé de feinte : je ne l’ai jamais surpris à tricher ni avec lui-même ni avec les autres.
Pour Virgil, la vie spirituelle commence par l’honnêteté envers soi-même. S’il l’avait souhaité, il aurait pu devenir célèbre et riche, très riche et très célèbre. En voyant tous les « imposteurs » qui pullulent sur le marché pseudo spirituel, il aurait été justifié de s’afficher publiquement, mais il considéra toujours que tel n’était pas son rôle. Il fustigeait énergiquement le cirque « spirituel » moderne, tant en Inde qu’en Occident, comme étant une disgrâce, une calamité, une exploitation de la misère humaine et de la recherche sincère.
Ses paroles sont bien peu de choses comparées à sa présence vivante, mais nous avons gardé leur parfum de simplicité et de vérité parfois cinglante. Ses propos sont percutants parce que chargés de cette clarté-lucidité dont il parlait souvent. Virgil n’a jamais écrit un mot et n’a jamais enseigné. Il a partagé, simplement, gratuitement, dans la limpidité et la transparence.
Le secret le mieux gardé
Jean Bouchart d'Orval
E-book
9,99 €