Eichmann au Caire. Et autres essais
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- Nombre de pages112
- PrésentationBroché
- Poids0.105 kg
- Dimensions12,5 cm × 18,9 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-330-01053-9
- EAN9782330010539
- Date de parution05/09/2012
- CollectionL'Actuel
- ÉditeurActes Sud/Sindbad
- TraducteurJean-Claude Pons
Résumé
Adolf Eichmann était l'un des organisateurs des camps de concentration nazis. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, il réussit à fuir en Argentine où il vécut sous une fausse identité jusqu'en 1960, quand il fut kidnappé par des agents du Mossad. Conduit en Israël, il y fut jugé, condamné à mort et exécuté le 31 mai 1962. Le procès d'Eichmann eut un retentissement considérable, et Hannah Arendt lui consacra un ouvrage devenu un classique de la philosophie politique, "Eichmann à Jérusalem ou la Banalité du mal" .
A l'époque, sous la direction de Nasser, l'Egypte était le porte-drapeau du nationalisme arabe, le champion de la lutte contre Israël, et il n'était pas rare en Europe et aux Etats-Unis de l'assimiler au fascisme, voire au nazisme. D'où l'intérêt de savoir comment l'affaire Eichmann a été couverte par la presse de ce pays en particulier. Gilbert Achcar y répond en se fondant sur le quotidien "Al-Ahram" , alors dirigé par le confident de Nasser, Mohammed Hassanein Heikal.
Dans les deux autres articles, l'auteur revient sur certains thèmes de son ouvrage "Les Arabes et la Shoah" , qui a suscité des réactions très contrastées, tant aux Etats-Unis et en Israël qu'au Liban et dans d'autres pays du monde arabe.
A l'époque, sous la direction de Nasser, l'Egypte était le porte-drapeau du nationalisme arabe, le champion de la lutte contre Israël, et il n'était pas rare en Europe et aux Etats-Unis de l'assimiler au fascisme, voire au nazisme. D'où l'intérêt de savoir comment l'affaire Eichmann a été couverte par la presse de ce pays en particulier. Gilbert Achcar y répond en se fondant sur le quotidien "Al-Ahram" , alors dirigé par le confident de Nasser, Mohammed Hassanein Heikal.
Dans les deux autres articles, l'auteur revient sur certains thèmes de son ouvrage "Les Arabes et la Shoah" , qui a suscité des réactions très contrastées, tant aux Etats-Unis et en Israël qu'au Liban et dans d'autres pays du monde arabe.
Adolf Eichmann était l'un des organisateurs des camps de concentration nazis. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, il réussit à fuir en Argentine où il vécut sous une fausse identité jusqu'en 1960, quand il fut kidnappé par des agents du Mossad. Conduit en Israël, il y fut jugé, condamné à mort et exécuté le 31 mai 1962. Le procès d'Eichmann eut un retentissement considérable, et Hannah Arendt lui consacra un ouvrage devenu un classique de la philosophie politique, "Eichmann à Jérusalem ou la Banalité du mal" .
A l'époque, sous la direction de Nasser, l'Egypte était le porte-drapeau du nationalisme arabe, le champion de la lutte contre Israël, et il n'était pas rare en Europe et aux Etats-Unis de l'assimiler au fascisme, voire au nazisme. D'où l'intérêt de savoir comment l'affaire Eichmann a été couverte par la presse de ce pays en particulier. Gilbert Achcar y répond en se fondant sur le quotidien "Al-Ahram" , alors dirigé par le confident de Nasser, Mohammed Hassanein Heikal.
Dans les deux autres articles, l'auteur revient sur certains thèmes de son ouvrage "Les Arabes et la Shoah" , qui a suscité des réactions très contrastées, tant aux Etats-Unis et en Israël qu'au Liban et dans d'autres pays du monde arabe.
A l'époque, sous la direction de Nasser, l'Egypte était le porte-drapeau du nationalisme arabe, le champion de la lutte contre Israël, et il n'était pas rare en Europe et aux Etats-Unis de l'assimiler au fascisme, voire au nazisme. D'où l'intérêt de savoir comment l'affaire Eichmann a été couverte par la presse de ce pays en particulier. Gilbert Achcar y répond en se fondant sur le quotidien "Al-Ahram" , alors dirigé par le confident de Nasser, Mohammed Hassanein Heikal.
Dans les deux autres articles, l'auteur revient sur certains thèmes de son ouvrage "Les Arabes et la Shoah" , qui a suscité des réactions très contrastées, tant aux Etats-Unis et en Israël qu'au Liban et dans d'autres pays du monde arabe.