Eglises romanes de l'Ain. Dombes et Bresse
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 10 juillet et le 25 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera expédié 2 à 4 semaines après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 10 juillet et le 25 juillet
- Nombre de pages208
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.625 kg
- Dimensions23,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-907656-75-7
- EAN9782907656757
- Date de parution15/06/2024
- CollectionPatrimoines des Pays de l'Ain
- ÉditeurPatrimoine de l'Ain
- AuteurPaul Cattin
- PréfacierDominique Saint-Pierre
Résumé
Cet ouvrage est le résultat de la collaboration d'un archiviste, d'un prêtre, d'un archéologue et historien d'art et d'une dessinatrice dans le but de déterminer l'importance des vestiges romans conservés et bien visibles quand l'édifice a été restauré. Des notices, aussi historiquement documentées que possible, soulignent une certaine unité dans les plans et dans le décor et précisent l'existence d'ateliers de sculpteurs.
L'ouvrage ne propose pas de circuit touristique mais l'auteur avoue avoir été sensible au charme de certaines petites églises comme celles d'Amareins et de Chanteins, aux variations de couleur de celle de Sainte-Olive, avoir été impressionné par l'orgueilleuse façade de Saint-Paul-de-Varax ou par le clocher roman de Saint-André-de-Bâgé ou même par le clocher moderne de Buellas. On se souvient du lion de Rancé, de l'aigle de Villars, de la sirène de Savigneux, du Christ en gloire de Saint Paul de Varax ou de Vandeins, de l'homme aux lions de Chaveyriat, de Saint-Germain-de-Renon et de Saint-Julien-sur-Veyle.
Mais il faut ensuite arriver à une vision évolutive, car l'histoire de ces églises se bâtit sur plus d'un siècle et les constructeurs comme les sculpteurs étaient ouverts sur l'extérieur.
L'ouvrage ne propose pas de circuit touristique mais l'auteur avoue avoir été sensible au charme de certaines petites églises comme celles d'Amareins et de Chanteins, aux variations de couleur de celle de Sainte-Olive, avoir été impressionné par l'orgueilleuse façade de Saint-Paul-de-Varax ou par le clocher roman de Saint-André-de-Bâgé ou même par le clocher moderne de Buellas. On se souvient du lion de Rancé, de l'aigle de Villars, de la sirène de Savigneux, du Christ en gloire de Saint Paul de Varax ou de Vandeins, de l'homme aux lions de Chaveyriat, de Saint-Germain-de-Renon et de Saint-Julien-sur-Veyle.
Mais il faut ensuite arriver à une vision évolutive, car l'histoire de ces églises se bâtit sur plus d'un siècle et les constructeurs comme les sculpteurs étaient ouverts sur l'extérieur.
Cet ouvrage est le résultat de la collaboration d'un archiviste, d'un prêtre, d'un archéologue et historien d'art et d'une dessinatrice dans le but de déterminer l'importance des vestiges romans conservés et bien visibles quand l'édifice a été restauré. Des notices, aussi historiquement documentées que possible, soulignent une certaine unité dans les plans et dans le décor et précisent l'existence d'ateliers de sculpteurs.
L'ouvrage ne propose pas de circuit touristique mais l'auteur avoue avoir été sensible au charme de certaines petites églises comme celles d'Amareins et de Chanteins, aux variations de couleur de celle de Sainte-Olive, avoir été impressionné par l'orgueilleuse façade de Saint-Paul-de-Varax ou par le clocher roman de Saint-André-de-Bâgé ou même par le clocher moderne de Buellas. On se souvient du lion de Rancé, de l'aigle de Villars, de la sirène de Savigneux, du Christ en gloire de Saint Paul de Varax ou de Vandeins, de l'homme aux lions de Chaveyriat, de Saint-Germain-de-Renon et de Saint-Julien-sur-Veyle.
Mais il faut ensuite arriver à une vision évolutive, car l'histoire de ces églises se bâtit sur plus d'un siècle et les constructeurs comme les sculpteurs étaient ouverts sur l'extérieur.
L'ouvrage ne propose pas de circuit touristique mais l'auteur avoue avoir été sensible au charme de certaines petites églises comme celles d'Amareins et de Chanteins, aux variations de couleur de celle de Sainte-Olive, avoir été impressionné par l'orgueilleuse façade de Saint-Paul-de-Varax ou par le clocher roman de Saint-André-de-Bâgé ou même par le clocher moderne de Buellas. On se souvient du lion de Rancé, de l'aigle de Villars, de la sirène de Savigneux, du Christ en gloire de Saint Paul de Varax ou de Vandeins, de l'homme aux lions de Chaveyriat, de Saint-Germain-de-Renon et de Saint-Julien-sur-Veyle.
Mais il faut ensuite arriver à une vision évolutive, car l'histoire de ces églises se bâtit sur plus d'un siècle et les constructeurs comme les sculpteurs étaient ouverts sur l'extérieur.