Eglise romane lieu d'énergie. Pour une géobiologie du Sacré

Par : Jacques Bonvin, Paul Trilloux

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 28 juin et le 1 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages292
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.389 kg
  • Dimensions14,1 cm × 22,0 cm × 2,3 cm
  • ISBN978-2-84454-934-1
  • EAN9782844549341
  • Date de parution01/06/2012
  • CollectionLes lieux de la tradition
  • ÉditeurDervy

Résumé

L'église est, par excellence, le lien entre le monde visible et le monde invisible. L'église romane est plus qu'un ouvrage d'art, c'est une machine à régénérer, à guérir, qui fonctionne non seulement sur le plan physique, mais aussi sur tous les plans de la connaissance manifestée, du vital au spirituel. C'est aussi un lieu de prière, et la force de l'art médiéval est d'avoir su concilier sacré et science des énergies.
En s'appuyant sur les ressources de la géobiologie sacrée ainsi que sur les textes des Pères apologistes de l'Eglise, Jacques Bonvin et Paul Trilloux nous permettent de comprendre les motivations profondes des moines bâtisseurs du Moyen-Age. Par l'utilisation concrète de la science des énergies cosmotelluriques, ils savaient mettre l'homme en résonance avec le cosmos, le microcosme avec le macrocosme, et permettre à celui qui était libre de coeur d'accéder, selon son niveau de conscience, au feu ineffable et merveilleux des énergies divines.
L'église est, par excellence, le lien entre le monde visible et le monde invisible. L'église romane est plus qu'un ouvrage d'art, c'est une machine à régénérer, à guérir, qui fonctionne non seulement sur le plan physique, mais aussi sur tous les plans de la connaissance manifestée, du vital au spirituel. C'est aussi un lieu de prière, et la force de l'art médiéval est d'avoir su concilier sacré et science des énergies.
En s'appuyant sur les ressources de la géobiologie sacrée ainsi que sur les textes des Pères apologistes de l'Eglise, Jacques Bonvin et Paul Trilloux nous permettent de comprendre les motivations profondes des moines bâtisseurs du Moyen-Age. Par l'utilisation concrète de la science des énergies cosmotelluriques, ils savaient mettre l'homme en résonance avec le cosmos, le microcosme avec le macrocosme, et permettre à celui qui était libre de coeur d'accéder, selon son niveau de conscience, au feu ineffable et merveilleux des énergies divines.