Eau et gaz à tous les étages. Paris, 100 ans de logement
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- Nombre de pages279
- PrésentationRelié
- Poids1.175 kg
- Dimensions18,1 cm × 30,0 cm × 2,2 cm
- ISBN2-7084-0434-2
- EAN9782708404342
- Date de parution01/01/1992
- ÉditeurPicard
Résumé
En 1892, une épidémie de choléra provoquait la mort de 906 personnes à Paris. Le 8 mai 1906, dans un rapport, le conseiller municipal parisien Ambroise Rendu, indiquait pour la première fois la délimitation d'îlots insalubres.
Cent ans de logement, c'est retracer cent ans de défis pour trouver les voies d'une amélioration extraordinaire des conditions de vie à Paris. Inspirée à l'origine par des préoccupations hygiénistes l'action de la collectivité publique correspond pendant le XXe siècle à une évolution sans précédent des mœurs et des techniques qui va se répercuter sur l'habitat. Cette évolution est conditionnée par la nécessité de satisfaire d'abord des besoins élémentaires : la salubrité et l'hygiène, puis, parallèlement à l'élévation du niveau de vie, des aspirations plus complexes : confort, esthétique, environnement, paysage urbain. Tous ceux qui, à un titre ou à un autre, ont à intervenir dans le développement de la cité, sociologues, architectes ou urbanistes, se sont efforcés d'apporter une réponse à ces besoins en perpétuelle évolution et ont souvent cru que la solution idéale était trouvée.
En 1892, une épidémie de choléra provoquait la mort de 906 personnes à Paris. Le 8 mai 1906, dans un rapport, le conseiller municipal parisien Ambroise Rendu, indiquait pour la première fois la délimitation d'îlots insalubres.
Cent ans de logement, c'est retracer cent ans de défis pour trouver les voies d'une amélioration extraordinaire des conditions de vie à Paris. Inspirée à l'origine par des préoccupations hygiénistes l'action de la collectivité publique correspond pendant le XXe siècle à une évolution sans précédent des mœurs et des techniques qui va se répercuter sur l'habitat. Cette évolution est conditionnée par la nécessité de satisfaire d'abord des besoins élémentaires : la salubrité et l'hygiène, puis, parallèlement à l'élévation du niveau de vie, des aspirations plus complexes : confort, esthétique, environnement, paysage urbain. Tous ceux qui, à un titre ou à un autre, ont à intervenir dans le développement de la cité, sociologues, architectes ou urbanistes, se sont efforcés d'apporter une réponse à ces besoins en perpétuelle évolution et ont souvent cru que la solution idéale était trouvée.