Droit portuaire en Afrique. Aspects juridiques de la gestion et de l'exploitation portuaire au Sénégal
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- Nombre de pages320
- PrésentationBroché
- Poids0.5 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,8 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-296-56032-1
- EAN9782296560321
- Date de parution01/02/2012
- CollectionEtudes africaines
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierRobert Rezenthel
Résumé
Le mouvement irréversible de la mondialisation pose des
exigences fortes sur les ports africains, comme ceux du
Sénégal, en termes de volumes et de qualité des
infrastructures, de fréquence des opérations de dragage et
d'efficacité des ports. Cela est aisément compréhensible, du
fait qu'une bonne politique de gestion portuaire est importante
pour assurer l'efficacité du transport maritime d'un pays,
l'objectif étant le gain de compétitivité des ports.
Seulement, au Sénégal, cet objectif n'est pas toujours facile à atteindre à cause de la difficile cohabitation entre service public et développement économique. En effet, la plupart des règlements régissant la gestion des ports fait référence au service public, instaurant du coup un mode de gestion étatique. Or, le développement économique fait plutôt intervenir des principes du droit privé.
En outre, ces textes datant du lendemain de l'indépendance, se pose un problème de compatibilité entre les besoins réels et actuels du pays et l'efficacité de ces textes. Aussi peut-on s'interroger sur la rentabilité de ce mode de gestion : le Sénégal est-il capable de protéger son domaine public portuaire tout en le rentabilisant (au vu de ce qu'il se passe dans la majorité des ports du pays) ? Ou devrait-il y avoir un autre mode de gestion qui, bien sûr, conserverait les points forts du système actuel ?
Seulement, au Sénégal, cet objectif n'est pas toujours facile à atteindre à cause de la difficile cohabitation entre service public et développement économique. En effet, la plupart des règlements régissant la gestion des ports fait référence au service public, instaurant du coup un mode de gestion étatique. Or, le développement économique fait plutôt intervenir des principes du droit privé.
En outre, ces textes datant du lendemain de l'indépendance, se pose un problème de compatibilité entre les besoins réels et actuels du pays et l'efficacité de ces textes. Aussi peut-on s'interroger sur la rentabilité de ce mode de gestion : le Sénégal est-il capable de protéger son domaine public portuaire tout en le rentabilisant (au vu de ce qu'il se passe dans la majorité des ports du pays) ? Ou devrait-il y avoir un autre mode de gestion qui, bien sûr, conserverait les points forts du système actuel ?
Le mouvement irréversible de la mondialisation pose des
exigences fortes sur les ports africains, comme ceux du
Sénégal, en termes de volumes et de qualité des
infrastructures, de fréquence des opérations de dragage et
d'efficacité des ports. Cela est aisément compréhensible, du
fait qu'une bonne politique de gestion portuaire est importante
pour assurer l'efficacité du transport maritime d'un pays,
l'objectif étant le gain de compétitivité des ports.
Seulement, au Sénégal, cet objectif n'est pas toujours facile à atteindre à cause de la difficile cohabitation entre service public et développement économique. En effet, la plupart des règlements régissant la gestion des ports fait référence au service public, instaurant du coup un mode de gestion étatique. Or, le développement économique fait plutôt intervenir des principes du droit privé.
En outre, ces textes datant du lendemain de l'indépendance, se pose un problème de compatibilité entre les besoins réels et actuels du pays et l'efficacité de ces textes. Aussi peut-on s'interroger sur la rentabilité de ce mode de gestion : le Sénégal est-il capable de protéger son domaine public portuaire tout en le rentabilisant (au vu de ce qu'il se passe dans la majorité des ports du pays) ? Ou devrait-il y avoir un autre mode de gestion qui, bien sûr, conserverait les points forts du système actuel ?
Seulement, au Sénégal, cet objectif n'est pas toujours facile à atteindre à cause de la difficile cohabitation entre service public et développement économique. En effet, la plupart des règlements régissant la gestion des ports fait référence au service public, instaurant du coup un mode de gestion étatique. Or, le développement économique fait plutôt intervenir des principes du droit privé.
En outre, ces textes datant du lendemain de l'indépendance, se pose un problème de compatibilité entre les besoins réels et actuels du pays et l'efficacité de ces textes. Aussi peut-on s'interroger sur la rentabilité de ce mode de gestion : le Sénégal est-il capable de protéger son domaine public portuaire tout en le rentabilisant (au vu de ce qu'il se passe dans la majorité des ports du pays) ? Ou devrait-il y avoir un autre mode de gestion qui, bien sûr, conserverait les points forts du système actuel ?