Droit et déontologie des magistrats

Par : Bernard Beignier, Jean Villacèque, Jean Volff
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  • Nombre de pages339
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.54 kg
  • Dimensions16,2 cm × 24,1 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-275-10294-8
  • EAN9782275102948
  • Date de parution03/05/2022
  • ÉditeurLGDJ

Résumé

Sans être le premier sur ce sujet, cet ouvrage est celui qui est novateur par son ampleur et ses projections, fruit d'une équipe diverse réunissant "gens du Palais et de l'Université" dont l'unité est profonde. Gens de robe dont la symbolique (un chapitre sur l'histoire et le sens du costume) n'est pas mineure. Déontologie et droit. Trop souvent encore l'on croit métamorphoser le second en lui instillant la première ou bien l'on entend réduire la première a ormes du second.
Or, existent séparément et distinctement la déontologie et le droit. Le droit de la magistrature part de l'éminence constitution pour descendre par des lois organiques, des ordonnances et des lois, puis les règlements, nombre de textes réunis dans le Code de l'organisation judiciaire. Ce sont les procédures. La déontologie est nécessairement plus informelle, elle n'apprécie pas les normes en angle droit, elle conseille l'esprit avec des lignes courbes.
Elle est plus question que réponse, interrogation de la conscience, sens critique dans l'exercice de la fonction. Les deux, bien entendu, peuvent se rejoindre. Le parfait exemple est le sobre serment de tout magistrat : défini par la loi qui l'ordonne, il se limite à quelques prescriptions qui ont pour horizon la morale professionnelle si on meure personnelle. Discerner son devoir, puiser la force de l'accomplir.
Dans ces divers chapitres, ces approches multiples et complémentaires, le lecteur trouvera le complément du précédent aîné de ce livre : Droit déontologie de la profession d'avocat, chez le même éditeur (2e éd.,2016). "Partenaires" de justice, on ne peut concevoir le juge sans l'avocat et l'avocat ne peut se réduire à la pratique si dense aujourd'hui du conseil. Le Palais unit ceux qui débattent à l'audience.
L'université contemple leurs travaux, les médite, les commente et les enseigne. "Partenaires de doctrine" : tel est le témoignage de cet ouvrage.
Sans être le premier sur ce sujet, cet ouvrage est celui qui est novateur par son ampleur et ses projections, fruit d'une équipe diverse réunissant "gens du Palais et de l'Université" dont l'unité est profonde. Gens de robe dont la symbolique (un chapitre sur l'histoire et le sens du costume) n'est pas mineure. Déontologie et droit. Trop souvent encore l'on croit métamorphoser le second en lui instillant la première ou bien l'on entend réduire la première a ormes du second.
Or, existent séparément et distinctement la déontologie et le droit. Le droit de la magistrature part de l'éminence constitution pour descendre par des lois organiques, des ordonnances et des lois, puis les règlements, nombre de textes réunis dans le Code de l'organisation judiciaire. Ce sont les procédures. La déontologie est nécessairement plus informelle, elle n'apprécie pas les normes en angle droit, elle conseille l'esprit avec des lignes courbes.
Elle est plus question que réponse, interrogation de la conscience, sens critique dans l'exercice de la fonction. Les deux, bien entendu, peuvent se rejoindre. Le parfait exemple est le sobre serment de tout magistrat : défini par la loi qui l'ordonne, il se limite à quelques prescriptions qui ont pour horizon la morale professionnelle si on meure personnelle. Discerner son devoir, puiser la force de l'accomplir.
Dans ces divers chapitres, ces approches multiples et complémentaires, le lecteur trouvera le complément du précédent aîné de ce livre : Droit déontologie de la profession d'avocat, chez le même éditeur (2e éd.,2016). "Partenaires" de justice, on ne peut concevoir le juge sans l'avocat et l'avocat ne peut se réduire à la pratique si dense aujourd'hui du conseil. Le Palais unit ceux qui débattent à l'audience.
L'université contemple leurs travaux, les médite, les commente et les enseigne. "Partenaires de doctrine" : tel est le témoignage de cet ouvrage.
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