Destinée et salut. Essai de théologie poétique à propos de deux romans de Joseph Conrad
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 28 juin et le 1 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 28 juin et le 1 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages63
- PrésentationBroché
- Poids0.1 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-911087-55-4
- EAN9782911087554
- Date de parution04/01/2008
- ÉditeurVan Dieren
- PréfacierAndré Gounelle
Résumé
Le présent essai porte sur deux romans de Conrad et il relève de ce que Paul Tillich appelle la "théologie de la culture" (ou de la "poésie" au sens de ce mot qu'indique la première section). Il ne faut pas se méprendre sur cette expression. Elle ne signifie pas seulement ni principalement que la culture est ou doit être un objet d'étude pour la théologie. Elle entend surtout indiquer et souligner que la culture est un des lieux où s'élabore une réflexion théologique.
La littérature, la peinture, la musique, l'architecture, etc. traduisent une perception et une compréhension des choses qui portent sur ce qu'est le monde, ce qu'est l'être humain et ce qu'est Dieu. L'art a une portée symbolique, non pas parce qu'il renverrait à une vérité transcendante extérieure à lui-même, mais parce qu'il porte en lui et exporte (au sens d'ex-prime) une vérité fondamentale.
La littérature, la peinture, la musique, l'architecture, etc. traduisent une perception et une compréhension des choses qui portent sur ce qu'est le monde, ce qu'est l'être humain et ce qu'est Dieu. L'art a une portée symbolique, non pas parce qu'il renverrait à une vérité transcendante extérieure à lui-même, mais parce qu'il porte en lui et exporte (au sens d'ex-prime) une vérité fondamentale.
Le présent essai porte sur deux romans de Conrad et il relève de ce que Paul Tillich appelle la "théologie de la culture" (ou de la "poésie" au sens de ce mot qu'indique la première section). Il ne faut pas se méprendre sur cette expression. Elle ne signifie pas seulement ni principalement que la culture est ou doit être un objet d'étude pour la théologie. Elle entend surtout indiquer et souligner que la culture est un des lieux où s'élabore une réflexion théologique.
La littérature, la peinture, la musique, l'architecture, etc. traduisent une perception et une compréhension des choses qui portent sur ce qu'est le monde, ce qu'est l'être humain et ce qu'est Dieu. L'art a une portée symbolique, non pas parce qu'il renverrait à une vérité transcendante extérieure à lui-même, mais parce qu'il porte en lui et exporte (au sens d'ex-prime) une vérité fondamentale.
La littérature, la peinture, la musique, l'architecture, etc. traduisent une perception et une compréhension des choses qui portent sur ce qu'est le monde, ce qu'est l'être humain et ce qu'est Dieu. L'art a une portée symbolique, non pas parce qu'il renverrait à une vérité transcendante extérieure à lui-même, mais parce qu'il porte en lui et exporte (au sens d'ex-prime) une vérité fondamentale.