Des savants belges en Afrique centrale 1900-1960. Je dirai leurs noms

Par : Marie-Madeleine Arnold-Gulikers

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  • Nombre de pages111
  • PrésentationBroché
  • Poids0.165 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-2-296-07896-3
  • EAN9782296078963
  • Date de parution02/03/2009
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Mal connus, trop discrets et surtout peu reconnus, même dans leur mère-patrie, des savants belges furent nombreux, grâce à leur savoir, à leur esprit d'entreprise et leur force de caractère, à participer à l'épanouissement d'une région immense, l'Afrique centrale, qui, au début du XXe siècle, s'éveillait au monde, " terra nova " où tout était possible. Dans cet ouvrage, Marie-Madeleine Arnold nous parle de quelques-uns d'entre eux (mais d'autres - combien d'autres ? - devraient encore être cités) : Ernest Stoffels, qui importa le quinquina au Kivu, Hans Brédo, qui éradiqua les invasions de sauterelles, Luc Gillon, savant atomiste et fondateur de Lovanium, A. E. Meeussen, grand spécialiste des langues africaines, Jean de Heinzelin de Braucourt, qui découvrit le fameux Os d'Ishango, Jules Cornet, le " père " du Katanga, Marcel Dehalu, physicien, Henri Buttgenbach, minéralogiste, Victor van Straelen, géologue, Charles Schyns, médecin et bâtisseur... Ils ont laissé derrière eux des livres précieux où ils ont consigné tout ce qu'ils avaient découvert et tout ce qu'ils avaient réalisé. Mais qui va les consulter ? C'est pour qu'ils ne meurent pas une seconde fois que ce livre a été écrit.
Mal connus, trop discrets et surtout peu reconnus, même dans leur mère-patrie, des savants belges furent nombreux, grâce à leur savoir, à leur esprit d'entreprise et leur force de caractère, à participer à l'épanouissement d'une région immense, l'Afrique centrale, qui, au début du XXe siècle, s'éveillait au monde, " terra nova " où tout était possible. Dans cet ouvrage, Marie-Madeleine Arnold nous parle de quelques-uns d'entre eux (mais d'autres - combien d'autres ? - devraient encore être cités) : Ernest Stoffels, qui importa le quinquina au Kivu, Hans Brédo, qui éradiqua les invasions de sauterelles, Luc Gillon, savant atomiste et fondateur de Lovanium, A. E. Meeussen, grand spécialiste des langues africaines, Jean de Heinzelin de Braucourt, qui découvrit le fameux Os d'Ishango, Jules Cornet, le " père " du Katanga, Marcel Dehalu, physicien, Henri Buttgenbach, minéralogiste, Victor van Straelen, géologue, Charles Schyns, médecin et bâtisseur... Ils ont laissé derrière eux des livres précieux où ils ont consigné tout ce qu'ils avaient découvert et tout ce qu'ils avaient réalisé. Mais qui va les consulter ? C'est pour qu'ils ne meurent pas une seconde fois que ce livre a été écrit.