Des menus plaisirs au Jeu de paume, du serment au roi au serment à la Nation. Pièce en 5 actes suivi de Les Français et 1789
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- Nombre de pages100
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Dimensions23,0 cm × 25,0 cm × 0,0 cm
- ISBN979-10-90161-22-1
- EAN9791090161221
- Date de parution15/11/2021
- ÉditeurPériégète
Résumé
Avant d'être le moment de la colère populaire et d'une réorganisation totale de la France, la Révolution s'est préparée dans les discours et l'incantation, dans le verbe haut et dans le dépassement des rôles et des fonctions des élites du royaume de France. Les Etats généraux convoqués à contrecoeur par Louis XVI et réunis le 5 mai 1789 ont été le catalyseur d'émotions, de revendications et de contradictions à perte d'horizon et la campagne électorale qui les a précédés avait déjà fait basculer le royaume dans la servitude de l'exclusion de l'autre comme système de pensée.
Pour le bonheur d'une espérance sans fin de progrès et de liberté, clergé, noblesse et tiers état se sont affrontés par des personnalités interposées, bientôt les héros heureux puis malheureux d'une aventure sans pareille. Le théâtre est sans doute le mode littéraire le plus approprié pour rendre compte des brochures et des discours qui ont inondé le royaume à la recherche d'un nouveau serment qui devait satisfaire, au départ, et l'autorité du Roi et le bonheur de ses sujets.
On découvre les argumentaires des uns et des autres, dans une effroyable tension mais également dans cette atmosphère de liberté souvent ignorée de l'Ancien Régime. Animée par un colporteur de Versailles Augustin Fleury, cette scénographie se fait l'écho des affrontements rhétoriques entre les exaltés du tiers état, les contradicteurs nobles ou du clergé et l'attente passive du Roi et de ses ministres.
De la salle des Menus Plaisirs au Jeu de Paume, c'est toute une culture politique française à huit-clos qui s'ébauche, témoignage oublié du bonheur d'être libre et des angoisses pour le demeurer
Pour le bonheur d'une espérance sans fin de progrès et de liberté, clergé, noblesse et tiers état se sont affrontés par des personnalités interposées, bientôt les héros heureux puis malheureux d'une aventure sans pareille. Le théâtre est sans doute le mode littéraire le plus approprié pour rendre compte des brochures et des discours qui ont inondé le royaume à la recherche d'un nouveau serment qui devait satisfaire, au départ, et l'autorité du Roi et le bonheur de ses sujets.
On découvre les argumentaires des uns et des autres, dans une effroyable tension mais également dans cette atmosphère de liberté souvent ignorée de l'Ancien Régime. Animée par un colporteur de Versailles Augustin Fleury, cette scénographie se fait l'écho des affrontements rhétoriques entre les exaltés du tiers état, les contradicteurs nobles ou du clergé et l'attente passive du Roi et de ses ministres.
De la salle des Menus Plaisirs au Jeu de Paume, c'est toute une culture politique française à huit-clos qui s'ébauche, témoignage oublié du bonheur d'être libre et des angoisses pour le demeurer
Avant d'être le moment de la colère populaire et d'une réorganisation totale de la France, la Révolution s'est préparée dans les discours et l'incantation, dans le verbe haut et dans le dépassement des rôles et des fonctions des élites du royaume de France. Les Etats généraux convoqués à contrecoeur par Louis XVI et réunis le 5 mai 1789 ont été le catalyseur d'émotions, de revendications et de contradictions à perte d'horizon et la campagne électorale qui les a précédés avait déjà fait basculer le royaume dans la servitude de l'exclusion de l'autre comme système de pensée.
Pour le bonheur d'une espérance sans fin de progrès et de liberté, clergé, noblesse et tiers état se sont affrontés par des personnalités interposées, bientôt les héros heureux puis malheureux d'une aventure sans pareille. Le théâtre est sans doute le mode littéraire le plus approprié pour rendre compte des brochures et des discours qui ont inondé le royaume à la recherche d'un nouveau serment qui devait satisfaire, au départ, et l'autorité du Roi et le bonheur de ses sujets.
On découvre les argumentaires des uns et des autres, dans une effroyable tension mais également dans cette atmosphère de liberté souvent ignorée de l'Ancien Régime. Animée par un colporteur de Versailles Augustin Fleury, cette scénographie se fait l'écho des affrontements rhétoriques entre les exaltés du tiers état, les contradicteurs nobles ou du clergé et l'attente passive du Roi et de ses ministres.
De la salle des Menus Plaisirs au Jeu de Paume, c'est toute une culture politique française à huit-clos qui s'ébauche, témoignage oublié du bonheur d'être libre et des angoisses pour le demeurer
Pour le bonheur d'une espérance sans fin de progrès et de liberté, clergé, noblesse et tiers état se sont affrontés par des personnalités interposées, bientôt les héros heureux puis malheureux d'une aventure sans pareille. Le théâtre est sans doute le mode littéraire le plus approprié pour rendre compte des brochures et des discours qui ont inondé le royaume à la recherche d'un nouveau serment qui devait satisfaire, au départ, et l'autorité du Roi et le bonheur de ses sujets.
On découvre les argumentaires des uns et des autres, dans une effroyable tension mais également dans cette atmosphère de liberté souvent ignorée de l'Ancien Régime. Animée par un colporteur de Versailles Augustin Fleury, cette scénographie se fait l'écho des affrontements rhétoriques entre les exaltés du tiers état, les contradicteurs nobles ou du clergé et l'attente passive du Roi et de ses ministres.
De la salle des Menus Plaisirs au Jeu de Paume, c'est toute une culture politique française à huit-clos qui s'ébauche, témoignage oublié du bonheur d'être libre et des angoisses pour le demeurer