Déplacer la lune de son orbite

Par : Andrea Marcolongo
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  • Nombre de pages192
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.12 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-253-24783-8
  • EAN9782253247838
  • Date de parution22/05/2024
  • CollectionMa nuit au musée
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche
  • TraducteurBéatrice Robert-Boissier

Résumé

"C'est une nuit dans un musée vide que je m'apprêtais à passer devant l'Acropole. Nous avons tous dérobé quelque chose à la Grèce : ses idées, à partir desquelles nous avons forgé nos racines occidentales. Les marbres du Parthénon, arrachés à la pioche. Dans ce vol collectif, je ne suis qu'un imposteur parmi d'autres : je ne suis pas grecque, je ne parle pas le grec moderne, et pourtant j'ai bâti ma vie et mon écriture sur ce vol". Cette contemplation des vestiges n'appelle pas la mélancolie, mais au contraire libère une énergie. Ses mots émus, ses justes accès d'indignation, donnent un ton à son livre. Et un charme à cette nuit unique. Etienne de Montety, Le Figaro littéraire. Ce qui rend attachant ce texte sensible est un mélange subtil d'évocations historiques et de confessions intimes. Dans une prose tendue, Andrea Marcolongo fait comprendre que tout, dans l'antique, demeure vivant, sous mille métamorphoses. Plutôt que le saccage, la renaissance permanente. Roger Pol-Droit, Le Monde des livres. Traduit de l'italien par Béatrice Robert-Boissier.
"C'est une nuit dans un musée vide que je m'apprêtais à passer devant l'Acropole. Nous avons tous dérobé quelque chose à la Grèce : ses idées, à partir desquelles nous avons forgé nos racines occidentales. Les marbres du Parthénon, arrachés à la pioche. Dans ce vol collectif, je ne suis qu'un imposteur parmi d'autres : je ne suis pas grecque, je ne parle pas le grec moderne, et pourtant j'ai bâti ma vie et mon écriture sur ce vol". Cette contemplation des vestiges n'appelle pas la mélancolie, mais au contraire libère une énergie. Ses mots émus, ses justes accès d'indignation, donnent un ton à son livre. Et un charme à cette nuit unique. Etienne de Montety, Le Figaro littéraire. Ce qui rend attachant ce texte sensible est un mélange subtil d'évocations historiques et de confessions intimes. Dans une prose tendue, Andrea Marcolongo fait comprendre que tout, dans l'antique, demeure vivant, sous mille métamorphoses. Plutôt que le saccage, la renaissance permanente. Roger Pol-Droit, Le Monde des livres. Traduit de l'italien par Béatrice Robert-Boissier.
Le goût du risque
Andrea Marcolongo, Patrice Franceschi, Loïc Finaz
Grand Format
16,00 €
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Jean-Pierre Vernant, Andrea Marcolongo
E-book
4,99 €