De la filouterie dans l'Angleterre de la Renaissance. Etudes sur Shakespeare et ses contemporains
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- Nombre de pages201
- PrésentationBroché
- Poids0.26 kg
- Dimensions13,5 cm × 22,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-8107-0270-1
- EAN9782810702701
- Date de parution31/10/2013
- CollectionInterlangues
- ÉditeurPresses Universitaires Mirail
Résumé
Que savons-nous, nous qui nous voulons d'honnêtes citoyens, sur les filous ? Et en saurions-nous davantage sur ceux de notre pays et de notre siècle que sur ceux de l'Angleterre de Shakespeare ? Ce que nous constatons, où que nous nous tournions, c'est que la tentation de la triche, l'art de la gruge, l'arnaque menée de main de maître, la jubilation de la ruse intelligente demeurent. La filouterie est de tout temps, insaisissable et indémodable, inextirpable, d'une pratique archétypale.
Éternelle bête noire des autorités, cible toujours mouvante des faiseurs de loi, remise en cause récurrente des réponses coercitives. Mais aussi, source intarissable des écrivains parce qu'elle n'en finit pas de fasciner par son audace, son inventivité, son altérité. Or, par-delà les effets premiers de fascination et de divertissement, la filouterie invite à la réflexion : que nous dit-elle sur elle-même et, plus subtilement, sur la structure globale dans laquelle elle est prise et s'exerce ? Les textes qui composent cet ouvrage analysent ce monde des filous dans l'Angleterre de la fin du XVIe et de la première moitié du XVIIe.
Ils témoignent d'un intérêt personnel de l'auteure pour l'art de la débrouillardise et l'intelligence de la ruse, mais aussi d'un sentiment d'indulgence envers les petits truands sévèrement mis à l'index quand les machiavels ne sont guère inquiétés.
Éternelle bête noire des autorités, cible toujours mouvante des faiseurs de loi, remise en cause récurrente des réponses coercitives. Mais aussi, source intarissable des écrivains parce qu'elle n'en finit pas de fasciner par son audace, son inventivité, son altérité. Or, par-delà les effets premiers de fascination et de divertissement, la filouterie invite à la réflexion : que nous dit-elle sur elle-même et, plus subtilement, sur la structure globale dans laquelle elle est prise et s'exerce ? Les textes qui composent cet ouvrage analysent ce monde des filous dans l'Angleterre de la fin du XVIe et de la première moitié du XVIIe.
Ils témoignent d'un intérêt personnel de l'auteure pour l'art de la débrouillardise et l'intelligence de la ruse, mais aussi d'un sentiment d'indulgence envers les petits truands sévèrement mis à l'index quand les machiavels ne sont guère inquiétés.
Que savons-nous, nous qui nous voulons d'honnêtes citoyens, sur les filous ? Et en saurions-nous davantage sur ceux de notre pays et de notre siècle que sur ceux de l'Angleterre de Shakespeare ? Ce que nous constatons, où que nous nous tournions, c'est que la tentation de la triche, l'art de la gruge, l'arnaque menée de main de maître, la jubilation de la ruse intelligente demeurent. La filouterie est de tout temps, insaisissable et indémodable, inextirpable, d'une pratique archétypale.
Éternelle bête noire des autorités, cible toujours mouvante des faiseurs de loi, remise en cause récurrente des réponses coercitives. Mais aussi, source intarissable des écrivains parce qu'elle n'en finit pas de fasciner par son audace, son inventivité, son altérité. Or, par-delà les effets premiers de fascination et de divertissement, la filouterie invite à la réflexion : que nous dit-elle sur elle-même et, plus subtilement, sur la structure globale dans laquelle elle est prise et s'exerce ? Les textes qui composent cet ouvrage analysent ce monde des filous dans l'Angleterre de la fin du XVIe et de la première moitié du XVIIe.
Ils témoignent d'un intérêt personnel de l'auteure pour l'art de la débrouillardise et l'intelligence de la ruse, mais aussi d'un sentiment d'indulgence envers les petits truands sévèrement mis à l'index quand les machiavels ne sont guère inquiétés.
Éternelle bête noire des autorités, cible toujours mouvante des faiseurs de loi, remise en cause récurrente des réponses coercitives. Mais aussi, source intarissable des écrivains parce qu'elle n'en finit pas de fasciner par son audace, son inventivité, son altérité. Or, par-delà les effets premiers de fascination et de divertissement, la filouterie invite à la réflexion : que nous dit-elle sur elle-même et, plus subtilement, sur la structure globale dans laquelle elle est prise et s'exerce ? Les textes qui composent cet ouvrage analysent ce monde des filous dans l'Angleterre de la fin du XVIe et de la première moitié du XVIIe.
Ils témoignent d'un intérêt personnel de l'auteure pour l'art de la débrouillardise et l'intelligence de la ruse, mais aussi d'un sentiment d'indulgence envers les petits truands sévèrement mis à l'index quand les machiavels ne sont guère inquiétés.