De la domination urbaine. Réflexion sur les expertises sociales
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- Nombre de pages152
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.2 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-343-11228-2
- EAN9782343112282
- Date de parution01/07/2018
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les rapports de domination sociale constituent, sans aucun doute, ceux qui passent les plus inaperçus tant les discours et les pratiques des professionnels, mais également ceux des individus ordinaires, appréhendent les formations urbaines en termes de fatalité. Une représentation fataliste qui s'accentue avec les effets que produit le phénomène de la mondialisation sur les espaces urbanisés. Ne parle-t-on pas de "villes mondiales", "villes mondes" ou de "villes globales"? Face à ces situations qui interpellent les différents champs sociaux (politique, économique, urbanistique et architectural, scientifique et/ou intellectuel, etc.), la mise à contribution des experts en tous genres est devenue une nécessité.
Une telle contribution ne peut s'exercer en faisant abstraction du fait que les villes constituent non seulement des lieux de pouvoir, mais aussi de cristallisation spatiale et sociale des différentes formes de domination. Tenter de questionner les implications et investissements des experts issus du champ des sciences sociales, plus particulièrement la sociologie, dans les dispositifs étatiques tels que les politiques de ville ou d'autres, c'est soumettre la réflexivité du chercheur à l'épreuve d'objets de recherche ou d'étude dont il n'est pas l'auteur.
C'est à partir de l'analyse de quelques situations que s'est élaborée la problématique de ce que l'on peut entendre par "domination urbaine", qui ne saurait se limiter aux seuls effets que produisent les villes sur les espaces ruraux ou périurbains.
Une telle contribution ne peut s'exercer en faisant abstraction du fait que les villes constituent non seulement des lieux de pouvoir, mais aussi de cristallisation spatiale et sociale des différentes formes de domination. Tenter de questionner les implications et investissements des experts issus du champ des sciences sociales, plus particulièrement la sociologie, dans les dispositifs étatiques tels que les politiques de ville ou d'autres, c'est soumettre la réflexivité du chercheur à l'épreuve d'objets de recherche ou d'étude dont il n'est pas l'auteur.
C'est à partir de l'analyse de quelques situations que s'est élaborée la problématique de ce que l'on peut entendre par "domination urbaine", qui ne saurait se limiter aux seuls effets que produisent les villes sur les espaces ruraux ou périurbains.
Les rapports de domination sociale constituent, sans aucun doute, ceux qui passent les plus inaperçus tant les discours et les pratiques des professionnels, mais également ceux des individus ordinaires, appréhendent les formations urbaines en termes de fatalité. Une représentation fataliste qui s'accentue avec les effets que produit le phénomène de la mondialisation sur les espaces urbanisés. Ne parle-t-on pas de "villes mondiales", "villes mondes" ou de "villes globales"? Face à ces situations qui interpellent les différents champs sociaux (politique, économique, urbanistique et architectural, scientifique et/ou intellectuel, etc.), la mise à contribution des experts en tous genres est devenue une nécessité.
Une telle contribution ne peut s'exercer en faisant abstraction du fait que les villes constituent non seulement des lieux de pouvoir, mais aussi de cristallisation spatiale et sociale des différentes formes de domination. Tenter de questionner les implications et investissements des experts issus du champ des sciences sociales, plus particulièrement la sociologie, dans les dispositifs étatiques tels que les politiques de ville ou d'autres, c'est soumettre la réflexivité du chercheur à l'épreuve d'objets de recherche ou d'étude dont il n'est pas l'auteur.
C'est à partir de l'analyse de quelques situations que s'est élaborée la problématique de ce que l'on peut entendre par "domination urbaine", qui ne saurait se limiter aux seuls effets que produisent les villes sur les espaces ruraux ou périurbains.
Une telle contribution ne peut s'exercer en faisant abstraction du fait que les villes constituent non seulement des lieux de pouvoir, mais aussi de cristallisation spatiale et sociale des différentes formes de domination. Tenter de questionner les implications et investissements des experts issus du champ des sciences sociales, plus particulièrement la sociologie, dans les dispositifs étatiques tels que les politiques de ville ou d'autres, c'est soumettre la réflexivité du chercheur à l'épreuve d'objets de recherche ou d'étude dont il n'est pas l'auteur.
C'est à partir de l'analyse de quelques situations que s'est élaborée la problématique de ce que l'on peut entendre par "domination urbaine", qui ne saurait se limiter aux seuls effets que produisent les villes sur les espaces ruraux ou périurbains.