De l'eau pour les éléphants

Par : Sara Gruen
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  • Nombre de pages402
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.558 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-226-22129-2
  • EAN9782226221292
  • Date de parution20/04/2011
  • ÉditeurAlbin Michel
  • TraducteurValérie Malfoy

Résumé

Déboussolé par la mort de ses parents dans un accident, ayant perdu famille et foyer, Jacob Jankowski saute dans le premier train qui passe, celui du cirque Benzini. Il va découvrir le monde clos des « monstres », des paumés, des laissés pour compte, celui des artistes d’un cirque de troisième zone, essayant, de ville en ville, de survivre à la Grande Dépression. Un monde avec ses propres règles, ses lois impitoyables. Etudiant vétérinaire en fin de cursus, Jacob est pressenti pour s’occuper de la ménagerie de cette « nef des fous ». Il tombera amoureux de Marlene, une belle écuyère mal mariée à Auguste, directeur du cirque et dresseur aussi charismatique que sadique. Et va rencontrer Rosie, une éléphante réputée indressable jusqu’à ce que Jacob découvre la façon de communiquer avec elle. Surprenant, poignant, drôle, parfaitement documenté, De l’eau pour les éléphants est l’un de ces romans rares, si captivants qu’on ne peut s’en détacher, avec des personnages si vrais qu’ils continuent de vivre une fois la dernière page tournée.
Déboussolé par la mort de ses parents dans un accident, ayant perdu famille et foyer, Jacob Jankowski saute dans le premier train qui passe, celui du cirque Benzini. Il va découvrir le monde clos des « monstres », des paumés, des laissés pour compte, celui des artistes d’un cirque de troisième zone, essayant, de ville en ville, de survivre à la Grande Dépression. Un monde avec ses propres règles, ses lois impitoyables. Etudiant vétérinaire en fin de cursus, Jacob est pressenti pour s’occuper de la ménagerie de cette « nef des fous ». Il tombera amoureux de Marlene, une belle écuyère mal mariée à Auguste, directeur du cirque et dresseur aussi charismatique que sadique. Et va rencontrer Rosie, une éléphante réputée indressable jusqu’à ce que Jacob découvre la façon de communiquer avec elle. Surprenant, poignant, drôle, parfaitement documenté, De l’eau pour les éléphants est l’un de ces romans rares, si captivants qu’on ne peut s’en détacher, avec des personnages si vrais qu’ils continuent de vivre une fois la dernière page tournée.

Avis libraires
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2 Coups de cœur
de nos libraires
.Furet du Nord Roubaix
4/5
DE L'EAU POUR LES ELEPHANTS
Au moment de la Grande Dépression aux Etats-Unis, un jeune homme de bonne famille se retrouve par un triste concours de circonstances, désargenté, orphelin et à la rue.Fasciné par le passage d'un cirque itinérant, il s'embarque à bord de celui-ci pour rencontrer la vie dorée des artistes et celle très dure des manœuvres, des ouvriers traités aussi mal que les bêtes du spectacle. Il s'amourache de la trapéziste, femme du n°1 du cirque, un homme imprévisible qui ne fait pas de sentiments...
Au moment de la Grande Dépression aux Etats-Unis, un jeune homme de bonne famille se retrouve par un triste concours de circonstances, désargenté, orphelin et à la rue.Fasciné par le passage d'un cirque itinérant, il s'embarque à bord de celui-ci pour rencontrer la vie dorée des artistes et celle très dure des manœuvres, des ouvriers traités aussi mal que les bêtes du spectacle. Il s'amourache de la trapéziste, femme du n°1 du cirque, un homme imprévisible qui ne fait pas de sentiments...
Beaucoup de bruits pour rien
Je m'attendais à un joli roman sur le milieu du cirque, et, en effet il en est question mais ça n'est pas le thème principal du livre. Il s'agit plutôt d'une histoire d'amour impossible entre un jeune homme orphelin en quête de repères et une femme mariée au responsable du cirque qu'elle considère plus comme son protecteur que son époux. Etant donné le succès de ce roman, j'avoue avoir été particulièrement déçue. Je reste sur ma fin même s'il reste bien écrit.
Je m'attendais à un joli roman sur le milieu du cirque, et, en effet il en est question mais ça n'est pas le thème principal du livre. Il s'agit plutôt d'une histoire d'amour impossible entre un jeune homme orphelin en quête de repères et une femme mariée au responsable du cirque qu'elle considère plus comme son protecteur que son époux. Etant donné le succès de ce roman, j'avoue avoir été particulièrement déçue. Je reste sur ma fin même s'il reste bien écrit.
  • Triste
  • histoire d'amour
  • animaux sauvages

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.7/5
sur 26 notes dont 6 avis lecteurs
L'envers du cirque : entre maltraitance et histoire d'amour...
Grâce à une écriture farouche, à la fois sérieuse et poétique, mais aussi sans la moindre dissimulation, Sara Gruen nous offre une oeuvre en clair-obscur. Entre la maltraitance des hommes et des bêtes, la naïveté des spectateurs qui ne se rendent pas compte de ce qui se passe avant d'avoir toutes ces paillettes dans leurs yeux et les violences conjugales d'un homme schizophrène et jaloux ; il nous sera alors impossible de regarder le cirque comme avant. Nos souvenirs d'enfance sont brisés, mais pour la bonne cause. Afin de se rendre compte que même au cœur de la magie et de la beauté du spectacle, se cache des montagnes de cadavres dissimulés sous les tentes. Et tout à coup, cette lumière, qui pointe parfois le bout de son nez, grâce à l'émouvante histoire d'amour interdite entre Jacob et Marlène, la belle écuyère. La splendeur du numéro reprend le dessus, l'illusion fonctionne encore un peu, le désir de ces deux êtres est plus fort que tout et, en dépit des injustices et du sang, ils sauront s'aimer pendant tout le reste de leur vie. Avant que la mort ne reprenne peu à peu ses droits, laissant un vieil homme de 93 ans nous conter son histoire, éternellement amoureux du cirque comme un enfant aux pupilles brillantes et à la bouche collante de barbe-à-papa... "De l'eau pour les éléphants" de Sara Gruen est une réussite ! Un roman original par son idée et magistralement orchestré par l'auteure. En prenant en otage nos souvenirs d'enfance et la magie qu'évoque le cirque pour chacun d'entre nous, Sara Gruen retourne le spectacle afin de nous dévoiler l'envers du décor et ce qui se trame en coulisses. Hommes et animaux sont exploités et peu à peu, c'est la compassion qui prend le dessus sur la beauté du spectacle. On réalise alors que tout n'est que simulacres et faux-semblants. À travers des personnages forts qui se déchirent, la violence et le sang, les animaux sont les véritables héros de cette poésie douloureuse qui ne laissera aucun lecteur insensible. Un roman d'une poigne remarquable, qui marque à jamais et résonne encore dans un coin de l'esprit du lecteur, comme une languissante musique de fête...
Grâce à une écriture farouche, à la fois sérieuse et poétique, mais aussi sans la moindre dissimulation, Sara Gruen nous offre une oeuvre en clair-obscur. Entre la maltraitance des hommes et des bêtes, la naïveté des spectateurs qui ne se rendent pas compte de ce qui se passe avant d'avoir toutes ces paillettes dans leurs yeux et les violences conjugales d'un homme schizophrène et jaloux ; il nous sera alors impossible de regarder le cirque comme avant. Nos souvenirs d'enfance sont brisés, mais pour la bonne cause. Afin de se rendre compte que même au cœur de la magie et de la beauté du spectacle, se cache des montagnes de cadavres dissimulés sous les tentes. Et tout à coup, cette lumière, qui pointe parfois le bout de son nez, grâce à l'émouvante histoire d'amour interdite entre Jacob et Marlène, la belle écuyère. La splendeur du numéro reprend le dessus, l'illusion fonctionne encore un peu, le désir de ces deux êtres est plus fort que tout et, en dépit des injustices et du sang, ils sauront s'aimer pendant tout le reste de leur vie. Avant que la mort ne reprenne peu à peu ses droits, laissant un vieil homme de 93 ans nous conter son histoire, éternellement amoureux du cirque comme un enfant aux pupilles brillantes et à la bouche collante de barbe-à-papa... "De l'eau pour les éléphants" de Sara Gruen est une réussite ! Un roman original par son idée et magistralement orchestré par l'auteure. En prenant en otage nos souvenirs d'enfance et la magie qu'évoque le cirque pour chacun d'entre nous, Sara Gruen retourne le spectacle afin de nous dévoiler l'envers du décor et ce qui se trame en coulisses. Hommes et animaux sont exploités et peu à peu, c'est la compassion qui prend le dessus sur la beauté du spectacle. On réalise alors que tout n'est que simulacres et faux-semblants. À travers des personnages forts qui se déchirent, la violence et le sang, les animaux sont les véritables héros de cette poésie douloureuse qui ne laissera aucun lecteur insensible. Un roman d'une poigne remarquable, qui marque à jamais et résonne encore dans un coin de l'esprit du lecteur, comme une languissante musique de fête...
  • animaux
  • Amérique
  • magie
  • liberté
  • cirque
  • Grande Dépression
  • discrimination
  • spectacle
  • maltraitance animale
  • violences conjugales
  • Sara Gruen
  • 1930
  • illusions
Alternant les souvenirs de Jacob et sa vie de triste résident de maison de retraite, Sara Gruen nous entraîne dans la vie fabuleuse et impitoyable d'un cirque ambulant des années 30 aux Etats-Unis. Des larmes couleront à la lecture de cette bouleversante histoire.
Alternant les souvenirs de Jacob et sa vie de triste résident de maison de retraite, Sara Gruen nous entraîne dans la vie fabuleuse et impitoyable d'un cirque ambulant des années 30 aux Etats-Unis. Des larmes couleront à la lecture de cette bouleversante histoire.
Triste et prenant
« Tout n’est qu’illusion Jacob, et c’est bien ainsi. C’est ce qu’on nous demande, ce qu’on attend de nous. » Une petite phrase, tout simple, qui résume à elle seule l’univers du cirque , à cette époque-là. Jacob est très âgé, 90 -93 ans, il ne sait plus très bien. Il n’est pas très heureux dans cette maison de retraite. Je n’ai pas ressenti beaucoup d’humanité dans cet endroit-là. Les vieux, on les met là, on leur fait manger ça ; parce que c’est comme ça ! Ses enfants ne viennent pas beaucoup le voir ; ils ont leur vie. Il se distrait comme il peut. Un jour, un cirque plante son chapiteau en face de la maison de retraite. Jacob se souvient… Il était jeune, brillant, plein d’avenir…mais la vie en a décidé autrement. Un jour, orphelin, et sans le sou, il saute dans un train. Nous sommes dans les années 30, aux Etats Unis, la grande dépression. Ce train n’est autre que le convoi d’un cirque ambulant qui va de ville en ville distraire les populations. Avec Jacob, je découvrirai l’univers impitoyable du cirque. Je découvre, horrifiée, la vilenie, la cupidité, mais surtout la cruauté gratuite et inimaginable, tant vers les hommes, que vers (et pour moi, c’est pire encore, plus lâche) les animaux qui sont censés les nourrir. « Je m’installe à ne certaine distance de la tente qui abrite les bêtes délaissées, en proie à un désespoir croissant. » « Je tourne à l’angle à l’instant même où Pete égorge un cheval gris et décrépit. Le cheval hurle tandis qu’un geyser de sang jaillit de la plaie béante. » Moi aussi je hurle, mais on ne m’entend pas ! Jacob fait le dos rond, il lui faudra se faire accepter parmi tous. Il connaît les animaux, sait les soigner ; cela lui facilitera les choses. Il se fera quelques amis. Jacob voudrait bien quitter le train. Que lui manque-t-il ? La force, le courage ? Sans doute un peu des deux. « Je retourne à mon wagon et m’allonge sur mn sac de couchage, écœuré par ce qui se passe dans la ménagerie et surtout par ma propre passivité. » Mais il se souvient de son père et de ses valeurs. La lumière viendra de Marlène, la belle, elle aussi cabossée par la vie, et Rosie, une éléphante, malmenée, elle aussi par ce sale type d' August. Il n’y a pas grand monde pour s’opposer à lui. Tout le monde le craint. Un jour viendra où il récoltera ce qu’il a semé. Mais en attendant, chacun doit jouer son rôle, et passer le plus inaperçu possible. L’auteur ne s’est pas contenté d’une histoire de cirque, et de sentiments ; elle a bien montré le caractère particulier de cette époque avec sa crise économique, la prohibition et toutes les dérives qu’elle a provoquées. La vie, et les contraintes d’un cirque ainsi que celles et ceux qui le font vivre sont bien bordées. Le style est fluide ; les retours en arrière sont bien maitrisés. Ce roman se lit d’une traite, ou presque, et, laisse un très bon souvenir de lecture.
« Tout n’est qu’illusion Jacob, et c’est bien ainsi. C’est ce qu’on nous demande, ce qu’on attend de nous. » Une petite phrase, tout simple, qui résume à elle seule l’univers du cirque , à cette époque-là. Jacob est très âgé, 90 -93 ans, il ne sait plus très bien. Il n’est pas très heureux dans cette maison de retraite. Je n’ai pas ressenti beaucoup d’humanité dans cet endroit-là. Les vieux, on les met là, on leur fait manger ça ; parce que c’est comme ça ! Ses enfants ne viennent pas beaucoup le voir ; ils ont leur vie. Il se distrait comme il peut. Un jour, un cirque plante son chapiteau en face de la maison de retraite. Jacob se souvient… Il était jeune, brillant, plein d’avenir…mais la vie en a décidé autrement. Un jour, orphelin, et sans le sou, il saute dans un train. Nous sommes dans les années 30, aux Etats Unis, la grande dépression. Ce train n’est autre que le convoi d’un cirque ambulant qui va de ville en ville distraire les populations. Avec Jacob, je découvrirai l’univers impitoyable du cirque. Je découvre, horrifiée, la vilenie, la cupidité, mais surtout la cruauté gratuite et inimaginable, tant vers les hommes, que vers (et pour moi, c’est pire encore, plus lâche) les animaux qui sont censés les nourrir. « Je m’installe à ne certaine distance de la tente qui abrite les bêtes délaissées, en proie à un désespoir croissant. » « Je tourne à l’angle à l’instant même où Pete égorge un cheval gris et décrépit. Le cheval hurle tandis qu’un geyser de sang jaillit de la plaie béante. » Moi aussi je hurle, mais on ne m’entend pas ! Jacob fait le dos rond, il lui faudra se faire accepter parmi tous. Il connaît les animaux, sait les soigner ; cela lui facilitera les choses. Il se fera quelques amis. Jacob voudrait bien quitter le train. Que lui manque-t-il ? La force, le courage ? Sans doute un peu des deux. « Je retourne à mon wagon et m’allonge sur mn sac de couchage, écœuré par ce qui se passe dans la ménagerie et surtout par ma propre passivité. » Mais il se souvient de son père et de ses valeurs. La lumière viendra de Marlène, la belle, elle aussi cabossée par la vie, et Rosie, une éléphante, malmenée, elle aussi par ce sale type d' August. Il n’y a pas grand monde pour s’opposer à lui. Tout le monde le craint. Un jour viendra où il récoltera ce qu’il a semé. Mais en attendant, chacun doit jouer son rôle, et passer le plus inaperçu possible. L’auteur ne s’est pas contenté d’une histoire de cirque, et de sentiments ; elle a bien montré le caractère particulier de cette époque avec sa crise économique, la prohibition et toutes les dérives qu’elle a provoquées. La vie, et les contraintes d’un cirque ainsi que celles et ceux qui le font vivre sont bien bordées. Le style est fluide ; les retours en arrière sont bien maitrisés. Ce roman se lit d’une traite, ou presque, et, laisse un très bon souvenir de lecture.
Drole et émouvant
Dès le prologue, je savais que j’allais adorer ce roman. Jacob est en maison de retraite et il se remémore l’époque de sa vie où il est tombé dans l’univers du cirque. Ayant tout perdu, il saute dans me premier train venu qui se trouve être la caravane d’un cirque. Quasi vétérinaire, il se fait embaucher. Il va rencontrer l’amour, le vrai, le seul l’inconditionnel : celui d’une femme (on s’en doute) mais également celui d’une éléphante (une vraie pas une métaphore). J’ai vibré pour le couple Jacob/Rosie, dès le premier regard, Jacob a compris que sa vie serait liée à cet animal. L’auteur nous dépeint l’envers du décor d’un cirque dans l’Amérique des années 30, les us et les coutumes, le traitement des animaux, l’heure des repas, comment sont recrutés les artistes, la paie. Il y a également toute une galerie de personnages qui font tout le sel de ce roman car il n’y a pas un ou deux personnages principaux qui tiennent le roman à bout de bras (ou de trompe dans le cas de Rosie), non, ici, c’est l’intégralité des personnages qui font tout le roman. Mes pensées vont notamment à Walter et Quennie, sa chienne, qui m’ont tous les deux beaucoup ému.
Dès le prologue, je savais que j’allais adorer ce roman. Jacob est en maison de retraite et il se remémore l’époque de sa vie où il est tombé dans l’univers du cirque. Ayant tout perdu, il saute dans me premier train venu qui se trouve être la caravane d’un cirque. Quasi vétérinaire, il se fait embaucher. Il va rencontrer l’amour, le vrai, le seul l’inconditionnel : celui d’une femme (on s’en doute) mais également celui d’une éléphante (une vraie pas une métaphore). J’ai vibré pour le couple Jacob/Rosie, dès le premier regard, Jacob a compris que sa vie serait liée à cet animal. L’auteur nous dépeint l’envers du décor d’un cirque dans l’Amérique des années 30, les us et les coutumes, le traitement des animaux, l’heure des repas, comment sont recrutés les artistes, la paie. Il y a également toute une galerie de personnages qui font tout le sel de ce roman car il n’y a pas un ou deux personnages principaux qui tiennent le roman à bout de bras (ou de trompe dans le cas de Rosie), non, ici, c’est l’intégralité des personnages qui font tout le roman. Mes pensées vont notamment à Walter et Quennie, sa chienne, qui m’ont tous les deux beaucoup ému.
Dommage
Férue de cirque, de ses femmes à barbe et de ceux que l'on appelle les "monstres", j'avais l'impression que « De l'eau pour les éléphants" était fait pour moi. L'histoire se déroule durant la période de la Grande Dépression, époque à laquelle le cirque de la marginalité, qui exhibait littéralement les corps, était encore monnaie courante. Sara Gruen raconte l'histoire d'un jeune homme qui rejoint le soi-disant plus grand cirque du monde et y découvre, en même temps que le lecteurs, une réalité âpre, loin de la façade souriante affichée face aux spectateurs. Sans le cliché d'une histoire d'amour impossible entre un héros prépubère et une femme mal mariée, qui ont en horreur la maltraitance infligée aux animaux du cirque, en particulier à l'éléphante Rosie, ce livre aurait pu m'intéresser bien davantage.
Férue de cirque, de ses femmes à barbe et de ceux que l'on appelle les "monstres", j'avais l'impression que « De l'eau pour les éléphants" était fait pour moi. L'histoire se déroule durant la période de la Grande Dépression, époque à laquelle le cirque de la marginalité, qui exhibait littéralement les corps, était encore monnaie courante. Sara Gruen raconte l'histoire d'un jeune homme qui rejoint le soi-disant plus grand cirque du monde et y découvre, en même temps que le lecteurs, une réalité âpre, loin de la façade souriante affichée face aux spectateurs. Sans le cliché d'une histoire d'amour impossible entre un héros prépubère et une femme mal mariée, qui ont en horreur la maltraitance infligée aux animaux du cirque, en particulier à l'éléphante Rosie, ce livre aurait pu m'intéresser bien davantage.
  • XXe siècle
  • Etats-Unis
  • Jacob Jankowski
  • Marlène
  • Rosie
  • Grande Dépression
A découvrir
Pour en savoir plus sur l'envers du décor des cirques ambulants pendant la dépression des années 30. Une belle histoire d'amour qui vous tient en haleine. A lire
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  • Passionnant
  • Emouvant
  • XXe siècle
  • Etats-Unis
  • Jacob Jankowski
Ape House
Sara Gruen
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