David, la politique et la révolution
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 9 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 9 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages444
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids0.898 kg
- Dimensions17,0 cm × 22,6 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-07-014269-9
- EAN9782070142699
- Date de parution25/11/2013
- CollectionBibliothèque illustrée
- ÉditeurGallimard
- PréfacierPascal Griener
Résumé
Les recherches menées par Antoine Schnapper sur David et la politique ont marqué les études historiques comme l'histoire de l'art de la fin du XXe siècle. Le moment était venu de les revisiter. Au coeur de ces travaux, les contributions au catalogue de l'exposition "David" de 1989 et trois études brèves, mais percutantes, qui balisent les segments capitaux de la vie de l'artiste : l'Ancien Régime, la Révolution, l'Empire.
Les analyses d'Antoine Schnapper encadrent et illustrent un moment essentiel de l'histoire de l'art. Au tournant des années 1980, l'analyse formaliste qui dominait les études sur l'art "néoclassique" cède le pas devant un regain d'intérêt pour le contexte historico-politique, et pour la traduction visuelle d'un message politique. David était le personnage idéal à étudier selon cette nouvelle perspective : grand peintre, chef d'école, c'est un des fondateurs de la modernité, qui pense la peinture comme un outil politique au service du peuple.
A ses yeux, l'artiste doit mettre en forme l'imaginaire collectif avec les moyens qui lui sont propres. Dès l'époque des Lumières, il s'emploie à la représentation d'idéaux majeurs, qu'il n'aura de cesse, après la Révolution, de mettre en oeuvre, non seulement par son art, mais par son engagement politique.
Les analyses d'Antoine Schnapper encadrent et illustrent un moment essentiel de l'histoire de l'art. Au tournant des années 1980, l'analyse formaliste qui dominait les études sur l'art "néoclassique" cède le pas devant un regain d'intérêt pour le contexte historico-politique, et pour la traduction visuelle d'un message politique. David était le personnage idéal à étudier selon cette nouvelle perspective : grand peintre, chef d'école, c'est un des fondateurs de la modernité, qui pense la peinture comme un outil politique au service du peuple.
A ses yeux, l'artiste doit mettre en forme l'imaginaire collectif avec les moyens qui lui sont propres. Dès l'époque des Lumières, il s'emploie à la représentation d'idéaux majeurs, qu'il n'aura de cesse, après la Révolution, de mettre en oeuvre, non seulement par son art, mais par son engagement politique.
Les recherches menées par Antoine Schnapper sur David et la politique ont marqué les études historiques comme l'histoire de l'art de la fin du XXe siècle. Le moment était venu de les revisiter. Au coeur de ces travaux, les contributions au catalogue de l'exposition "David" de 1989 et trois études brèves, mais percutantes, qui balisent les segments capitaux de la vie de l'artiste : l'Ancien Régime, la Révolution, l'Empire.
Les analyses d'Antoine Schnapper encadrent et illustrent un moment essentiel de l'histoire de l'art. Au tournant des années 1980, l'analyse formaliste qui dominait les études sur l'art "néoclassique" cède le pas devant un regain d'intérêt pour le contexte historico-politique, et pour la traduction visuelle d'un message politique. David était le personnage idéal à étudier selon cette nouvelle perspective : grand peintre, chef d'école, c'est un des fondateurs de la modernité, qui pense la peinture comme un outil politique au service du peuple.
A ses yeux, l'artiste doit mettre en forme l'imaginaire collectif avec les moyens qui lui sont propres. Dès l'époque des Lumières, il s'emploie à la représentation d'idéaux majeurs, qu'il n'aura de cesse, après la Révolution, de mettre en oeuvre, non seulement par son art, mais par son engagement politique.
Les analyses d'Antoine Schnapper encadrent et illustrent un moment essentiel de l'histoire de l'art. Au tournant des années 1980, l'analyse formaliste qui dominait les études sur l'art "néoclassique" cède le pas devant un regain d'intérêt pour le contexte historico-politique, et pour la traduction visuelle d'un message politique. David était le personnage idéal à étudier selon cette nouvelle perspective : grand peintre, chef d'école, c'est un des fondateurs de la modernité, qui pense la peinture comme un outil politique au service du peuple.
A ses yeux, l'artiste doit mettre en forme l'imaginaire collectif avec les moyens qui lui sont propres. Dès l'époque des Lumières, il s'emploie à la représentation d'idéaux majeurs, qu'il n'aura de cesse, après la Révolution, de mettre en oeuvre, non seulement par son art, mais par son engagement politique.