Cultures fiscales en Occident du Xe au XVIIe siècle. Etudes offertes à Denis Menjot
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- Nombre de pages377
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.605 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-8107-0631-0
- EAN9782810706310
- Date de parution11/07/2019
- CollectionEtudes médiévales ibériques
- ÉditeurPresses universitaires du Midi
Résumé
Denis Menjot est de ceux qui défrichent de nouveaux champs de la recherche, questionnent des sources-pas toujours très bavardes, décryptent les processus de formation et les dynamiques des systèmes fiscaux. Il est encore de ceux qui défendent une histoire globale de la fiscalité et se refusent à n'y voir que techniques et chiffres. Il est enfin de ceux qui s'interrogent et croisent les fils entre histoire et présent.
Le prélèvement fiscal, la fraude, la redistribution des ressources sont quelques-uns des champs explorés, intéressant tant l'idée de bien commun au Moyen Age que celle de civisme fiscal de nos jours. Les 28 contributions réunies en l'honneur de Denis Menjot s'inscrivent dans cette veine et voudraient témoigner de la pérennité de la dynamique qu'il a insufflée. Du Xe au XVIIe siècle pour de multiples espaces en Europe et en faisant jouer différents niveaux d'échelle, des cultures fiscales se donnent à voir.
Elles sont d'abord perçues à partir de la construction de discours, de ce dire fiscal dont les retorses subtilités s'insinuent dans les moindres recoins de l'activité humaine. Il s'agit ensuite de descendre dans les entrailles du gouvernement des finances et sa mécanique parfois bien complexe, avant de tenter d'évaluer ce que l'on pourrait dénommer "les effets sociaux" tant sur le plan des structures que sur celui de la critique et des contestations, ce qui ramène de toute évidence au discours.
Le prélèvement fiscal, la fraude, la redistribution des ressources sont quelques-uns des champs explorés, intéressant tant l'idée de bien commun au Moyen Age que celle de civisme fiscal de nos jours. Les 28 contributions réunies en l'honneur de Denis Menjot s'inscrivent dans cette veine et voudraient témoigner de la pérennité de la dynamique qu'il a insufflée. Du Xe au XVIIe siècle pour de multiples espaces en Europe et en faisant jouer différents niveaux d'échelle, des cultures fiscales se donnent à voir.
Elles sont d'abord perçues à partir de la construction de discours, de ce dire fiscal dont les retorses subtilités s'insinuent dans les moindres recoins de l'activité humaine. Il s'agit ensuite de descendre dans les entrailles du gouvernement des finances et sa mécanique parfois bien complexe, avant de tenter d'évaluer ce que l'on pourrait dénommer "les effets sociaux" tant sur le plan des structures que sur celui de la critique et des contestations, ce qui ramène de toute évidence au discours.
Denis Menjot est de ceux qui défrichent de nouveaux champs de la recherche, questionnent des sources-pas toujours très bavardes, décryptent les processus de formation et les dynamiques des systèmes fiscaux. Il est encore de ceux qui défendent une histoire globale de la fiscalité et se refusent à n'y voir que techniques et chiffres. Il est enfin de ceux qui s'interrogent et croisent les fils entre histoire et présent.
Le prélèvement fiscal, la fraude, la redistribution des ressources sont quelques-uns des champs explorés, intéressant tant l'idée de bien commun au Moyen Age que celle de civisme fiscal de nos jours. Les 28 contributions réunies en l'honneur de Denis Menjot s'inscrivent dans cette veine et voudraient témoigner de la pérennité de la dynamique qu'il a insufflée. Du Xe au XVIIe siècle pour de multiples espaces en Europe et en faisant jouer différents niveaux d'échelle, des cultures fiscales se donnent à voir.
Elles sont d'abord perçues à partir de la construction de discours, de ce dire fiscal dont les retorses subtilités s'insinuent dans les moindres recoins de l'activité humaine. Il s'agit ensuite de descendre dans les entrailles du gouvernement des finances et sa mécanique parfois bien complexe, avant de tenter d'évaluer ce que l'on pourrait dénommer "les effets sociaux" tant sur le plan des structures que sur celui de la critique et des contestations, ce qui ramène de toute évidence au discours.
Le prélèvement fiscal, la fraude, la redistribution des ressources sont quelques-uns des champs explorés, intéressant tant l'idée de bien commun au Moyen Age que celle de civisme fiscal de nos jours. Les 28 contributions réunies en l'honneur de Denis Menjot s'inscrivent dans cette veine et voudraient témoigner de la pérennité de la dynamique qu'il a insufflée. Du Xe au XVIIe siècle pour de multiples espaces en Europe et en faisant jouer différents niveaux d'échelle, des cultures fiscales se donnent à voir.
Elles sont d'abord perçues à partir de la construction de discours, de ce dire fiscal dont les retorses subtilités s'insinuent dans les moindres recoins de l'activité humaine. Il s'agit ensuite de descendre dans les entrailles du gouvernement des finances et sa mécanique parfois bien complexe, avant de tenter d'évaluer ce que l'on pourrait dénommer "les effets sociaux" tant sur le plan des structures que sur celui de la critique et des contestations, ce qui ramène de toute évidence au discours.