Construire la réalité. un nouvel avenir pour la psychothérapie

Par : Kenneth Gergen

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  • Nombre de pages265
  • PrésentationBroché
  • Poids0.31 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-02-055702-9
  • EAN9782020557023
  • Date de parution18/02/2005
  • CollectionLa couleur des idées
  • ÉditeurSeuil
  • TraducteurAlain Robiolio
  • PréfacierMony Elkaïm

Résumé

Dans ce livre, Kenneth Gergen, l'un des principaux représentants du courant appelé " constructionisme social ", nous invite à nous interroger sur notre vision de la réalité. Ce que nous appelons " la réalité " est une construction, qui se fait à travers et par les relations que nous entretenons les uns avec les autres : nos descriptions du monde prennent forme à l'intérieur même du langage. La relation du thérapeute et du patient, elle aussi, n'échappe pas à cette règle. Quelles sont dès lors les conséquences de ce point de vue, clairement énoncé et argumenté ici, sur la pratique thérapeutique ? La notion même d'une thérapie unique et unifiée, se déroulant dans le cadre d'une école, séparée de toute autre interaction sociale ou psychologique, ne doit-elle pas finalement être mise en question ? Comment, dans un contexte postmoderne, peut-on répondre et répondra-t-on à la demande thérapeutique ?
Dans ce livre, Kenneth Gergen, l'un des principaux représentants du courant appelé " constructionisme social ", nous invite à nous interroger sur notre vision de la réalité. Ce que nous appelons " la réalité " est une construction, qui se fait à travers et par les relations que nous entretenons les uns avec les autres : nos descriptions du monde prennent forme à l'intérieur même du langage. La relation du thérapeute et du patient, elle aussi, n'échappe pas à cette règle. Quelles sont dès lors les conséquences de ce point de vue, clairement énoncé et argumenté ici, sur la pratique thérapeutique ? La notion même d'une thérapie unique et unifiée, se déroulant dans le cadre d'une école, séparée de toute autre interaction sociale ou psychologique, ne doit-elle pas finalement être mise en question ? Comment, dans un contexte postmoderne, peut-on répondre et répondra-t-on à la demande thérapeutique ?