Concessions et privatisations : quelle articulation ?. Un colloque organisé par la section du rapport et des études, la section des finances et la section des travaux publics du Conseil d'Etat le 15 novembre 2019

Par : Conseil d'Etat
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  • Nombre de pages172
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.317 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-11-157505-9
  • EAN9782111575059
  • Date de parution20/07/2021
  • CollectionDroits et Débats
  • ÉditeurDocumentation Française (La)

Résumé

Cet ouvrage offre une analyse actuelle et concrète des notions de concession et de privatisation, rarement étudiées ensemble mais qui présentent pourtant de nombreux éléments de convergence. Les intervenants, du colloque du 15 novembre 2019, de la première table ronde se sont demandés pourquoi recourir à des opérateurs privés pour la gestion de services publics et d'infrastructures publiques. Les raisons, pour les personnes publiques, sont multiples : réduire la dépense publique, bénéficier des compétences et de la capacité d'innovation des opérateurs privés, faire des gains d'efficacité en se concentrant sur leur coeur de métier (les activités régaliennes et le contrôle), réaliser des investissements qui ne pourraient pas l'être sans le concours d'opérateurs privés, etc.
Dans cette perspective, les intervenants de la seconde table ronde se sont interrogés comment, une fois la privatisation réalisée, préserver les équilibres entre l'intérêt général, la fourniture aux usagers d'un service de qualité à un prix raisonnable et la rentabilité économique et financière des opérateurs privés.
Cet ouvrage offre une analyse actuelle et concrète des notions de concession et de privatisation, rarement étudiées ensemble mais qui présentent pourtant de nombreux éléments de convergence. Les intervenants, du colloque du 15 novembre 2019, de la première table ronde se sont demandés pourquoi recourir à des opérateurs privés pour la gestion de services publics et d'infrastructures publiques. Les raisons, pour les personnes publiques, sont multiples : réduire la dépense publique, bénéficier des compétences et de la capacité d'innovation des opérateurs privés, faire des gains d'efficacité en se concentrant sur leur coeur de métier (les activités régaliennes et le contrôle), réaliser des investissements qui ne pourraient pas l'être sans le concours d'opérateurs privés, etc.
Dans cette perspective, les intervenants de la seconde table ronde se sont interrogés comment, une fois la privatisation réalisée, préserver les équilibres entre l'intérêt général, la fourniture aux usagers d'un service de qualité à un prix raisonnable et la rentabilité économique et financière des opérateurs privés.