Comment marchent les voiliers

Par : Charles Bertrand

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  • Nombre de pages82
  • PrésentationBroché
  • Poids0.25 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-2-916083-69-8
  • EAN9782916083698
  • Date de parution08/11/2014
  • CollectionComprendre
  • ÉditeurVoiles et Voiliers

Résumé

Les voiliers ne marchent pas tout seuls. Non qu'ils aient des jambes, mais plutôt parce que le vent engendre des forces auxquels le bateau réagit, et qui lui permettent de se déplacer. Un voilier a ceci de particulier qu'il se meut à l'interface de deux fluides, l'air et l'eau. Et si le plaisancier a souvent- à raison-le nez sur ses voiles, il lui est moins aisé de percevoir ce qui se passe sous la ligne de flottaison.
Et pourtant. Faire marcher correctement son voilier, créer les conditions pour qu'il aille droit, tienne sa toile, passe la vague et tire le meilleur de sa vitesse, implique de comprendre ce qui se joue autour de la carène et de ses appendices -quille ou dérive et gouvernail. Sans s'intéresser à ces phénomènes, difficile de comprendre ce qui a présidé à la conception d'un voilier particulier, d'en interpréter les caractéristiques, d'en déduire le comportement à la mer et la façon de le mener, que l'objectif soit la performance pure, une navigation sûre, ou simplement le confort et l'agréement.
Il n'y a rien là-dedans de véritablement ardu ni de trop abscons, il s'agit au contraire d'un univers passionnant, et d'un pan de la connaissance maritime dont le navigateur soucieux de progresser et de naviguer en bon marin ne saurait se tenir à l'écart. L'auteur met avec pédagogie toutes ces notions à la portée du plus grand nombre, en illustrant son discours de nombreux schémas et dessins particulièrement parlants.
Les voiliers ne marchent pas tout seuls. Non qu'ils aient des jambes, mais plutôt parce que le vent engendre des forces auxquels le bateau réagit, et qui lui permettent de se déplacer. Un voilier a ceci de particulier qu'il se meut à l'interface de deux fluides, l'air et l'eau. Et si le plaisancier a souvent- à raison-le nez sur ses voiles, il lui est moins aisé de percevoir ce qui se passe sous la ligne de flottaison.
Et pourtant. Faire marcher correctement son voilier, créer les conditions pour qu'il aille droit, tienne sa toile, passe la vague et tire le meilleur de sa vitesse, implique de comprendre ce qui se joue autour de la carène et de ses appendices -quille ou dérive et gouvernail. Sans s'intéresser à ces phénomènes, difficile de comprendre ce qui a présidé à la conception d'un voilier particulier, d'en interpréter les caractéristiques, d'en déduire le comportement à la mer et la façon de le mener, que l'objectif soit la performance pure, une navigation sûre, ou simplement le confort et l'agréement.
Il n'y a rien là-dedans de véritablement ardu ni de trop abscons, il s'agit au contraire d'un univers passionnant, et d'un pan de la connaissance maritime dont le navigateur soucieux de progresser et de naviguer en bon marin ne saurait se tenir à l'écart. L'auteur met avec pédagogie toutes ces notions à la portée du plus grand nombre, en illustrant son discours de nombreux schémas et dessins particulièrement parlants.