Comment Kennedy évita la Troisième Guerre mondiale. Octobre 1962 : journal de la crise des missiles
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 29 juillet et le 1 aoûtCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 29 juillet et le 1 août
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages360
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.258 kg
- Dimensions11,2 cm × 17,8 cm × 1,1 cm
- ISBN979-10-392-0177-3
- EAN9791039201773
- Date de parution25/08/2022
- CollectionArchidoc
- ÉditeurArchipoche
Résumé
Le 16 octobre 1962, des preuves formelles apprennent à John F. Kennedy que l'URSS a installé des missiles nucléaires à Cuba. Son premier réflexe est d'envisager une attaque surprise immédiate. Après quelques jours de réflexion, il apparaît à la télévision pour annoncer un blocus et exiger le retrait de ces armes. Une semaine durant, le monde vit dans l'angoisse. Aux Etats-Unis et même en Europe, des magasins sont pris d'assaut par des consommateurs affolés.
L'idée qu'un nouveau conflit mondial risque à tout moment d'éclater est partagée au plus haut sommet de l'Etat. Côté soviétique, on a secrètement livré quantité d'armes atomiques aux forces déployées à Cuba et dans sa zone, avec parfois autorisation de les utiliser. Comment Kennedy est-il parvenu à solder cette "crise des missiles", la plus aiguë que la Guerre froide ait produite, après un bras de fer d'une semaine avec Khrouchtchev ? C'est ce que raconte Vincent Touze, l'un des premiers à avoir eu accès aux enregistrements et archives des conversations secrètes entre le Président et ses conseillers.
Une grande leçon d'histoire et de leadership, au coeur de la Maison-Blanche.
L'idée qu'un nouveau conflit mondial risque à tout moment d'éclater est partagée au plus haut sommet de l'Etat. Côté soviétique, on a secrètement livré quantité d'armes atomiques aux forces déployées à Cuba et dans sa zone, avec parfois autorisation de les utiliser. Comment Kennedy est-il parvenu à solder cette "crise des missiles", la plus aiguë que la Guerre froide ait produite, après un bras de fer d'une semaine avec Khrouchtchev ? C'est ce que raconte Vincent Touze, l'un des premiers à avoir eu accès aux enregistrements et archives des conversations secrètes entre le Président et ses conseillers.
Une grande leçon d'histoire et de leadership, au coeur de la Maison-Blanche.
Le 16 octobre 1962, des preuves formelles apprennent à John F. Kennedy que l'URSS a installé des missiles nucléaires à Cuba. Son premier réflexe est d'envisager une attaque surprise immédiate. Après quelques jours de réflexion, il apparaît à la télévision pour annoncer un blocus et exiger le retrait de ces armes. Une semaine durant, le monde vit dans l'angoisse. Aux Etats-Unis et même en Europe, des magasins sont pris d'assaut par des consommateurs affolés.
L'idée qu'un nouveau conflit mondial risque à tout moment d'éclater est partagée au plus haut sommet de l'Etat. Côté soviétique, on a secrètement livré quantité d'armes atomiques aux forces déployées à Cuba et dans sa zone, avec parfois autorisation de les utiliser. Comment Kennedy est-il parvenu à solder cette "crise des missiles", la plus aiguë que la Guerre froide ait produite, après un bras de fer d'une semaine avec Khrouchtchev ? C'est ce que raconte Vincent Touze, l'un des premiers à avoir eu accès aux enregistrements et archives des conversations secrètes entre le Président et ses conseillers.
Une grande leçon d'histoire et de leadership, au coeur de la Maison-Blanche.
L'idée qu'un nouveau conflit mondial risque à tout moment d'éclater est partagée au plus haut sommet de l'Etat. Côté soviétique, on a secrètement livré quantité d'armes atomiques aux forces déployées à Cuba et dans sa zone, avec parfois autorisation de les utiliser. Comment Kennedy est-il parvenu à solder cette "crise des missiles", la plus aiguë que la Guerre froide ait produite, après un bras de fer d'une semaine avec Khrouchtchev ? C'est ce que raconte Vincent Touze, l'un des premiers à avoir eu accès aux enregistrements et archives des conversations secrètes entre le Président et ses conseillers.
Une grande leçon d'histoire et de leadership, au coeur de la Maison-Blanche.