Clefs pour... Les apocryphes bibliques

Par : Yohan Picquart
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  • Nombre de pages140
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.158 kg
  • Dimensions14,0 cm × 19,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-36452-637-2
  • EAN9782364526372
  • Date de parution18/11/2020
  • ÉditeurSaint-Léger Editions

Résumé

Evangile de Judas, de Thomas, protévangiles de Jacques... Ces textes font souvent le " choux gras " des médias et fascinent nos contemporains. De nos jours, beaucoup tournent le dos aux églises instituées pour chercher des réponses dans des récits mystérieux, peu connus ou " marginaux.". Cet attrait pour l'ésotérisme et pour la pensée gnostique a créé un véritable engouement pour les textes apocryphes, dont plusieurs sont " réapparus " au cours des dernières décennies.
Le mot " apocryphe " vient du grec " apocryphon " qui signifie " caché ". C'est ainsi que théologiens et historiens qualifient généralement les textes bibliques " dont l'authenticité n'est pas établie ". Ces écrits n'ont pas été retenus dans le canon biblique. La tradition catholique reconnaît 72 livres dans son canon. Le premier correspond au livre de la Genèse et le dernier à celui de l'Apocalypse.
C'est au cours du concile de Rome en 382 que ce canon des écritures fut définitivement fixé. Cette décision n'eut rien d'arbitraire, un consensus émergeait déjà, à quelques textes près, depuis plusieurs siècles. " Canon ", est un mot grec qui a pour sens " règle ". Il s'agit d'un instrument qui permet de poser la juste mesure, le discernement. Moins connus que ceux du Nouveau Testament, nombreux furent les apocryphes de l'Ancien Testament, composés essentiellement au cours de la période dite " inter-testamentaire " ().
Ni la tradition juive, ni la tradition chrétienne, (si ce n'est quelques églises minoritaires et " autocéphales " ()) ne les ont reconnus. L'objectif de cet ouvrage, en citant les textes le plus représentatifs, est de présenter au lecteur une initiation, une vue d'ensemble du " phénomène apocryphe ", à la lumière de la foi catholique, et de clarifier les idées du lecteur désireux de se cultiver sur un sujet sur lequel la majorité de nos contemporains ont une idée floue, souvent fantasmée.
Evangile de Judas, de Thomas, protévangiles de Jacques... Ces textes font souvent le " choux gras " des médias et fascinent nos contemporains. De nos jours, beaucoup tournent le dos aux églises instituées pour chercher des réponses dans des récits mystérieux, peu connus ou " marginaux.". Cet attrait pour l'ésotérisme et pour la pensée gnostique a créé un véritable engouement pour les textes apocryphes, dont plusieurs sont " réapparus " au cours des dernières décennies.
Le mot " apocryphe " vient du grec " apocryphon " qui signifie " caché ". C'est ainsi que théologiens et historiens qualifient généralement les textes bibliques " dont l'authenticité n'est pas établie ". Ces écrits n'ont pas été retenus dans le canon biblique. La tradition catholique reconnaît 72 livres dans son canon. Le premier correspond au livre de la Genèse et le dernier à celui de l'Apocalypse.
C'est au cours du concile de Rome en 382 que ce canon des écritures fut définitivement fixé. Cette décision n'eut rien d'arbitraire, un consensus émergeait déjà, à quelques textes près, depuis plusieurs siècles. " Canon ", est un mot grec qui a pour sens " règle ". Il s'agit d'un instrument qui permet de poser la juste mesure, le discernement. Moins connus que ceux du Nouveau Testament, nombreux furent les apocryphes de l'Ancien Testament, composés essentiellement au cours de la période dite " inter-testamentaire " ().
Ni la tradition juive, ni la tradition chrétienne, (si ce n'est quelques églises minoritaires et " autocéphales " ()) ne les ont reconnus. L'objectif de cet ouvrage, en citant les textes le plus représentatifs, est de présenter au lecteur une initiation, une vue d'ensemble du " phénomène apocryphe ", à la lumière de la foi catholique, et de clarifier les idées du lecteur désireux de se cultiver sur un sujet sur lequel la majorité de nos contemporains ont une idée floue, souvent fantasmée.