Claire en affaires / Probablement les Bahamas

Par : Martin Crimp

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  • Nombre de pages133
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.135 kg
  • Dimensions11,5 cm × 18,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-85181-594-6
  • EAN9782851815941
  • Date de parution01/11/2006
  • CollectionScène ouverte
  • ÉditeurL'Arche
  • TraducteurJean-Pierre Vincent
  • TraducteurFrédérique Plain
  • TraducteurDanielle Merahi

Résumé

Dans l'Angleterre des années Thatcher, un couple de yuppies espère tirer le meilleur prix de sa maison. Les fondations en sont pourries, mais elle est située en bordure du parc, et seul un expert peut voir que le plancher s'effondrera sous peu. Toutefois celui-ci se garde bien de protester contre la malhonnêteté de ses patrons. Cette situation anodine deviendra le lieu même d'une catastrophe, où Crimp, s'inspirant d'un fait divers, dissémine les indices d'une inquiétante étrangeté.
Il exerce ainsi notre oeil à repérer derrière la réalité quotidienne les fils de fer qui tissent la fatalité. A cette transaction juteuse préside la belle et inconsolable Claire. Elle fascine tous les personnages, depuis les vendeurs jusqu'aux acheteurs potentiels. L'un d'eux, James, lui porte une attention singulière. C'est ce même art qui s'annonce dans Probablement les Bahamas. Un couple de retraités vous parle, comme vous parleraient deux statues d'Edward Kienholz.
On s'amuse à les écouter raconter des histoires banales, sur le ton des vieux imbéciles. Mais peu à peu se révèle derrière leurs paroles un acte de violence insoupçonnable. Le tour de force tient à ce que jamais le comique ne quitte la scène.
Dans l'Angleterre des années Thatcher, un couple de yuppies espère tirer le meilleur prix de sa maison. Les fondations en sont pourries, mais elle est située en bordure du parc, et seul un expert peut voir que le plancher s'effondrera sous peu. Toutefois celui-ci se garde bien de protester contre la malhonnêteté de ses patrons. Cette situation anodine deviendra le lieu même d'une catastrophe, où Crimp, s'inspirant d'un fait divers, dissémine les indices d'une inquiétante étrangeté.
Il exerce ainsi notre oeil à repérer derrière la réalité quotidienne les fils de fer qui tissent la fatalité. A cette transaction juteuse préside la belle et inconsolable Claire. Elle fascine tous les personnages, depuis les vendeurs jusqu'aux acheteurs potentiels. L'un d'eux, James, lui porte une attention singulière. C'est ce même art qui s'annonce dans Probablement les Bahamas. Un couple de retraités vous parle, comme vous parleraient deux statues d'Edward Kienholz.
On s'amuse à les écouter raconter des histoires banales, sur le ton des vieux imbéciles. Mais peu à peu se révèle derrière leurs paroles un acte de violence insoupçonnable. Le tour de force tient à ce que jamais le comique ne quitte la scène.
La Ville
Martin Crimp
Poche
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