Chroniques géorgiennes. 2002, un besoin d'Occident
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 1 août et le 5 aoûtCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 1 août et le 5 août
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages156
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.195 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-343-17608-6
- EAN9782343176086
- Date de parution21/05/2019
- ÉditeurLes Impliqués
Résumé
Ancien président de l'association France-URSS sous la Perestroïka, l'auteur a eu à coeur de retourner voir ce que devenait ce pays après La chute de l'Union soviétique. Présent à Tbilissi en 2002 dans le cadre d'une mission du GREF (Groupement des retraités et éducateurs sans frontières), il observe comment Edouard Chevardnadze gère Le chaos dans ce pays où se sont installés corruption et désordre, palpables jusque dans La rue.
C'est par le filtre de la vie ordinaire d'une école d'Etat et d'un collège qu'il appréhende La réalité géorgienne relatée au jour le jour dans cet ouvrage. Il découvre une société alors divisée entre une petite classe aisée et une population défavorisée à laquelle appartiennent les enseignants avec lesquels il travaille au quotidien. On y découvre un pays chaleureux qui, à la croisée de l'Orient et de l'Occident, des mondes chrétien et musulman, entre Etats-Unis et Russie, se prend à rêver d'Europe.
On y perçoit Le pathétique appel d'un peuple en proie aux incertitudes, mais qui se révèle être - bien que non francophone - très proche de la France, comme l'illustre le dévouement de ces enseignants qui professent au quotidien leur amour de notre langue et leur besoin d'Occident
C'est par le filtre de la vie ordinaire d'une école d'Etat et d'un collège qu'il appréhende La réalité géorgienne relatée au jour le jour dans cet ouvrage. Il découvre une société alors divisée entre une petite classe aisée et une population défavorisée à laquelle appartiennent les enseignants avec lesquels il travaille au quotidien. On y découvre un pays chaleureux qui, à la croisée de l'Orient et de l'Occident, des mondes chrétien et musulman, entre Etats-Unis et Russie, se prend à rêver d'Europe.
On y perçoit Le pathétique appel d'un peuple en proie aux incertitudes, mais qui se révèle être - bien que non francophone - très proche de la France, comme l'illustre le dévouement de ces enseignants qui professent au quotidien leur amour de notre langue et leur besoin d'Occident
Ancien président de l'association France-URSS sous la Perestroïka, l'auteur a eu à coeur de retourner voir ce que devenait ce pays après La chute de l'Union soviétique. Présent à Tbilissi en 2002 dans le cadre d'une mission du GREF (Groupement des retraités et éducateurs sans frontières), il observe comment Edouard Chevardnadze gère Le chaos dans ce pays où se sont installés corruption et désordre, palpables jusque dans La rue.
C'est par le filtre de la vie ordinaire d'une école d'Etat et d'un collège qu'il appréhende La réalité géorgienne relatée au jour le jour dans cet ouvrage. Il découvre une société alors divisée entre une petite classe aisée et une population défavorisée à laquelle appartiennent les enseignants avec lesquels il travaille au quotidien. On y découvre un pays chaleureux qui, à la croisée de l'Orient et de l'Occident, des mondes chrétien et musulman, entre Etats-Unis et Russie, se prend à rêver d'Europe.
On y perçoit Le pathétique appel d'un peuple en proie aux incertitudes, mais qui se révèle être - bien que non francophone - très proche de la France, comme l'illustre le dévouement de ces enseignants qui professent au quotidien leur amour de notre langue et leur besoin d'Occident
C'est par le filtre de la vie ordinaire d'une école d'Etat et d'un collège qu'il appréhende La réalité géorgienne relatée au jour le jour dans cet ouvrage. Il découvre une société alors divisée entre une petite classe aisée et une population défavorisée à laquelle appartiennent les enseignants avec lesquels il travaille au quotidien. On y découvre un pays chaleureux qui, à la croisée de l'Orient et de l'Occident, des mondes chrétien et musulman, entre Etats-Unis et Russie, se prend à rêver d'Europe.
On y perçoit Le pathétique appel d'un peuple en proie aux incertitudes, mais qui se révèle être - bien que non francophone - très proche de la France, comme l'illustre le dévouement de ces enseignants qui professent au quotidien leur amour de notre langue et leur besoin d'Occident