Ces guerres qui ne devaient pas éclater (1870, 1914, 1939)
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- Nombre de pages276
- PrésentationBroché
- Poids0.378 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-87623-550-2
- EAN9782876235502
- Date de parution20/03/2014
- CollectionHistoire
- ÉditeurMichel de Maule
Résumé
1870, 1914, 1939. Trois guerres nées de l'égoïsme, du chauvinisme et de la lâcheté, trois guerres qui n'auraient pas dû éclater. Napoléon III et ses conseillers ont déclaré la première alors qu'ils avaient toutes raisons de ne pas le faire. Si l'on efface leur erreur, l'histoire du XXe siècle aurait été différente. Malgré cette faute majeure, la probabilité des deux guerres mondiales qui ont suivi restait faible.
Un rideau de troupes, à Sarajevo, suffisait à empêcher l'attentat contre l'Archiduc François-Ferdinand à l'origine de la guerre de 1914. Guillaume II aurait sauvé la paix s'il était rentré de manoeuvres navales un jour plus tôt... En 1933, les nazis, minoritaires, ne pouvaient accéder au pouvoir; on le leur a offert. Et leur régime se serait sans doute effondré si l'armée française, en 1936, était entrée dans la zone rhénane pour en préserver la neutralité.
L'issue des conflits était tout aussi incertaine. De 1914 à 1918, le front occidental a manqué d'être rompu quatre fois par les Allemands. En 1941, ceux-ci ont été à deux doigts de prendre Moscou. Ils auraient été les premiers à disposer de la bombe atomique si Hitler s'y était intéressé. Le Japon pouvait inverser le sens de l'histoire en attaquant l'Union soviétique de concert avec le Reich, au lieu de s'en prendre aux Américains, adversaires bien trop puissants.
Cet ouvrage est le livre des occasions perdues, des tournants manqués et des décisions absurdes. 1870, 1914, 1939 : une poignée d'hommes seulement a écrit cette suite de mélodies pour un carnage.
Un rideau de troupes, à Sarajevo, suffisait à empêcher l'attentat contre l'Archiduc François-Ferdinand à l'origine de la guerre de 1914. Guillaume II aurait sauvé la paix s'il était rentré de manoeuvres navales un jour plus tôt... En 1933, les nazis, minoritaires, ne pouvaient accéder au pouvoir; on le leur a offert. Et leur régime se serait sans doute effondré si l'armée française, en 1936, était entrée dans la zone rhénane pour en préserver la neutralité.
L'issue des conflits était tout aussi incertaine. De 1914 à 1918, le front occidental a manqué d'être rompu quatre fois par les Allemands. En 1941, ceux-ci ont été à deux doigts de prendre Moscou. Ils auraient été les premiers à disposer de la bombe atomique si Hitler s'y était intéressé. Le Japon pouvait inverser le sens de l'histoire en attaquant l'Union soviétique de concert avec le Reich, au lieu de s'en prendre aux Américains, adversaires bien trop puissants.
Cet ouvrage est le livre des occasions perdues, des tournants manqués et des décisions absurdes. 1870, 1914, 1939 : une poignée d'hommes seulement a écrit cette suite de mélodies pour un carnage.
1870, 1914, 1939. Trois guerres nées de l'égoïsme, du chauvinisme et de la lâcheté, trois guerres qui n'auraient pas dû éclater. Napoléon III et ses conseillers ont déclaré la première alors qu'ils avaient toutes raisons de ne pas le faire. Si l'on efface leur erreur, l'histoire du XXe siècle aurait été différente. Malgré cette faute majeure, la probabilité des deux guerres mondiales qui ont suivi restait faible.
Un rideau de troupes, à Sarajevo, suffisait à empêcher l'attentat contre l'Archiduc François-Ferdinand à l'origine de la guerre de 1914. Guillaume II aurait sauvé la paix s'il était rentré de manoeuvres navales un jour plus tôt... En 1933, les nazis, minoritaires, ne pouvaient accéder au pouvoir; on le leur a offert. Et leur régime se serait sans doute effondré si l'armée française, en 1936, était entrée dans la zone rhénane pour en préserver la neutralité.
L'issue des conflits était tout aussi incertaine. De 1914 à 1918, le front occidental a manqué d'être rompu quatre fois par les Allemands. En 1941, ceux-ci ont été à deux doigts de prendre Moscou. Ils auraient été les premiers à disposer de la bombe atomique si Hitler s'y était intéressé. Le Japon pouvait inverser le sens de l'histoire en attaquant l'Union soviétique de concert avec le Reich, au lieu de s'en prendre aux Américains, adversaires bien trop puissants.
Cet ouvrage est le livre des occasions perdues, des tournants manqués et des décisions absurdes. 1870, 1914, 1939 : une poignée d'hommes seulement a écrit cette suite de mélodies pour un carnage.
Un rideau de troupes, à Sarajevo, suffisait à empêcher l'attentat contre l'Archiduc François-Ferdinand à l'origine de la guerre de 1914. Guillaume II aurait sauvé la paix s'il était rentré de manoeuvres navales un jour plus tôt... En 1933, les nazis, minoritaires, ne pouvaient accéder au pouvoir; on le leur a offert. Et leur régime se serait sans doute effondré si l'armée française, en 1936, était entrée dans la zone rhénane pour en préserver la neutralité.
L'issue des conflits était tout aussi incertaine. De 1914 à 1918, le front occidental a manqué d'être rompu quatre fois par les Allemands. En 1941, ceux-ci ont été à deux doigts de prendre Moscou. Ils auraient été les premiers à disposer de la bombe atomique si Hitler s'y était intéressé. Le Japon pouvait inverser le sens de l'histoire en attaquant l'Union soviétique de concert avec le Reich, au lieu de s'en prendre aux Américains, adversaires bien trop puissants.
Cet ouvrage est le livre des occasions perdues, des tournants manqués et des décisions absurdes. 1870, 1914, 1939 : une poignée d'hommes seulement a écrit cette suite de mélodies pour un carnage.