Celui qui vivait comme un rhinocéros. Alexandre Csoma de Korös, le vagabond de l'Himalaya
Par :Formats :
Disponible d'occasion :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 26 juillet et le 29 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 26 juillet et le 29 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages338
- PrésentationBroché
- Poids0.615 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-213-62196-8
- EAN9782213621968
- Date de parution09/05/2007
- ÉditeurFayard
Résumé
C'est l'histoire véridique d'un personnage extraordinaire, au destin ironique et à la gloire involontaire. Parti sans un sou pour trouver en Asie centrale les origines de la langue hongroise, Alexandre Csoma de Kôrôs (1784-1842) a fondé la tibétologie, par le hasard d'une rencontre avec un vétérinaire-explorateur, qui le charge d'établir un dictionnaire tibétain. Son université ? Une cellule sans chauffage du Zanksar, la région la plus sauvage de l'Himalaya, où Csoma de Kôros est le premier Occidental à pénétrer.
Son travail presque achevé, il rejoint l'Inde anglaise, où on le prend d'abord pour un espion. Mais rapidement l'Asiatic Society, soucieuse de profiter de son savoir, se décide à l'engager, à le rétribuer. Csoma répond avec hauteur : "Si j'étais riche, j'aurais considéré comme un honneur de payer pour accomplir une tâche aussi agréable. Ne l'étant pas, je ne puis accepter aucune somme pour cela."
Alors qu'il se décide à reprendre sa quête linguistique avec, enfin, une chance d'aboutir, le savant obstiné meurt aux portes du Tibet.
Des Carpates à l'Himalaya, le parcours singulier de cet ascète est aussi un fabuleux voyage à travers les langues, les civilisations, les religions, à la rencontre d'autres individus hors du commun, et à l'orée du "Great Carne" pour la maîtrise de l'Asie.
Nul doute, Alexandre Csoma de Kôros n'est pas un homme de notre temps. Mais il est peut-être celui de l'avenir.
C'est l'histoire véridique d'un personnage extraordinaire, au destin ironique et à la gloire involontaire. Parti sans un sou pour trouver en Asie centrale les origines de la langue hongroise, Alexandre Csoma de Kôrôs (1784-1842) a fondé la tibétologie, par le hasard d'une rencontre avec un vétérinaire-explorateur, qui le charge d'établir un dictionnaire tibétain. Son université ? Une cellule sans chauffage du Zanksar, la région la plus sauvage de l'Himalaya, où Csoma de Kôros est le premier Occidental à pénétrer.
Son travail presque achevé, il rejoint l'Inde anglaise, où on le prend d'abord pour un espion. Mais rapidement l'Asiatic Society, soucieuse de profiter de son savoir, se décide à l'engager, à le rétribuer. Csoma répond avec hauteur : "Si j'étais riche, j'aurais considéré comme un honneur de payer pour accomplir une tâche aussi agréable. Ne l'étant pas, je ne puis accepter aucune somme pour cela."
Alors qu'il se décide à reprendre sa quête linguistique avec, enfin, une chance d'aboutir, le savant obstiné meurt aux portes du Tibet.
Des Carpates à l'Himalaya, le parcours singulier de cet ascète est aussi un fabuleux voyage à travers les langues, les civilisations, les religions, à la rencontre d'autres individus hors du commun, et à l'orée du "Great Carne" pour la maîtrise de l'Asie.
Nul doute, Alexandre Csoma de Kôros n'est pas un homme de notre temps. Mais il est peut-être celui de l'avenir.