Carmelita
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 24 juin et le 26 juinCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 24 juin et le 26 juin
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages551
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.55 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 3,5 cm
- ISBN2-07-074967-3
- EAN9782070749676
- Date de parution09/10/2003
- CollectionLa noire
- ÉditeurGallimard
Résumé
On a tué l'homme qu'elle aimait. Ivre de chagrin, Carmelita quitte le Distrito Federal et se jette dans la folie grouillante de Rio comme on se fiche à l'eau. Emerson, son fils aîné, un adolescent de seize ans, l'accompagne. Lorsque la mère et le fils descendent du bus qui les amène de Brasilia, ils ont le sentiment de débarquer sur la Lune. La ville ne ressemble pas à ce qu'en dit la télévision : elle est immense, violente, imprévisible. En vérité, Rio est un ogre qui dévore ses enfants. Dès leur arrivée à Sao Carlos que domine le vieux pénitencier où pourrissent des milliers de détenus, Carmelita et Emerson comprennent très vite que s'ils veulent survivre dans ce chaos en perpétuelle ébullition, il leur faudra se plier à la loi inflexible des favelas. Tous deux sont confrontés au crime, omniprésent dans cette misère sans nom. Carmelita est mêlée à un sequestro, un enlèvement contre rançon. Quant à Emerson, il est enrôlé dans la guerre qui déchire périodiquement les deux grandes organisations criminelles qui contrôlent les favelas cariocas.
On a tué l'homme qu'elle aimait. Ivre de chagrin, Carmelita quitte le Distrito Federal et se jette dans la folie grouillante de Rio comme on se fiche à l'eau. Emerson, son fils aîné, un adolescent de seize ans, l'accompagne. Lorsque la mère et le fils descendent du bus qui les amène de Brasilia, ils ont le sentiment de débarquer sur la Lune. La ville ne ressemble pas à ce qu'en dit la télévision : elle est immense, violente, imprévisible. En vérité, Rio est un ogre qui dévore ses enfants. Dès leur arrivée à Sao Carlos que domine le vieux pénitencier où pourrissent des milliers de détenus, Carmelita et Emerson comprennent très vite que s'ils veulent survivre dans ce chaos en perpétuelle ébullition, il leur faudra se plier à la loi inflexible des favelas. Tous deux sont confrontés au crime, omniprésent dans cette misère sans nom. Carmelita est mêlée à un sequestro, un enlèvement contre rançon. Quant à Emerson, il est enrôlé dans la guerre qui déchire périodiquement les deux grandes organisations criminelles qui contrôlent les favelas cariocas.