Cannonball adderley

Par : Cabu

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  • Nombre de pages4
  • PrésentationBoîte
  • Poids0.15 kg
  • Dimensions14,0 cm × 13,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN366-3-322-12470-9
  • EAN3663322124709
  • Date de parution01/01/2007
  • CollectionCABU JAZZ MASTERS
  • ÉditeurBD MUSIC

Résumé

Né en 1928 dans une famille musicale de Floride, Julian Edwin Adderley, surnommé d'abord "Cannibal" , puis "Cannonball" , en hommage à son vaste appétit, fit une entrée fracassante dans la cour des grands du jazz un soir de juin 1955, à l'occasion d'un "boeuf" avec l'orchestre du contrebassiste Oscar Pettiford. Saxophoniste alto virtuose, on l'avait aussitôt coiffé de la casquette trop grande d'héritier, de réincarnation d'un génie, Charlie Parker, disparu trois mois plus tôt.
Cannonball allait très vite démontrer qu'il apportait au jazz une voix originale, un langage vitaminé qui devait certes beaucoup à Parker, mais beaucoup aussi à Benny Carter, à la musique d'église et au blues. Et c'est ainsi qu'il se trouva immédiatement au coeur des tendances "funky" et "hard bop" du jazz d'alors, avant et après son passage mémorable, en 1958-59, chez Miles Davis où il allait côtoyer John Coltrane et Bill Evans...
A la tête de son groupe, il devait ensuite se hisser au rang de star du jazz, séduisant un large public par son sens mélodique, son swing et sa joie de jouer communicative, jusqu'à sa disparition prématurée en 1975. Notre sélection le fait entendre à l'époque de ses retentissants débuts, adopté par la fine fleur newyorkaise d'alors, de Kenny Clarke à Quincy Jones.
Né en 1928 dans une famille musicale de Floride, Julian Edwin Adderley, surnommé d'abord "Cannibal" , puis "Cannonball" , en hommage à son vaste appétit, fit une entrée fracassante dans la cour des grands du jazz un soir de juin 1955, à l'occasion d'un "boeuf" avec l'orchestre du contrebassiste Oscar Pettiford. Saxophoniste alto virtuose, on l'avait aussitôt coiffé de la casquette trop grande d'héritier, de réincarnation d'un génie, Charlie Parker, disparu trois mois plus tôt.
Cannonball allait très vite démontrer qu'il apportait au jazz une voix originale, un langage vitaminé qui devait certes beaucoup à Parker, mais beaucoup aussi à Benny Carter, à la musique d'église et au blues. Et c'est ainsi qu'il se trouva immédiatement au coeur des tendances "funky" et "hard bop" du jazz d'alors, avant et après son passage mémorable, en 1958-59, chez Miles Davis où il allait côtoyer John Coltrane et Bill Evans...
A la tête de son groupe, il devait ensuite se hisser au rang de star du jazz, séduisant un large public par son sens mélodique, son swing et sa joie de jouer communicative, jusqu'à sa disparition prématurée en 1975. Notre sélection le fait entendre à l'époque de ses retentissants débuts, adopté par la fine fleur newyorkaise d'alors, de Kenny Clarke à Quincy Jones.
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