Cambodge, Kampuchéa, 18 ans. Mémoire du cauchemar

Par : Chansocthony Delange-Hean

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 24 juin et le 27 juin
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.372 kg
  • Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-343-18784-6
  • EAN9782343187846
  • Date de parution25/11/2019
  • CollectionMémoires asiatiques
  • ÉditeurL'Harmattan
  • ContributeurYves Delange

Résumé

Le 17 avril 1975, après cinq ans de guerre civile, Phnom Penh, la capitale du Cambodge, tombait dans les mains des Khmers rouges. Au lieu d'une paix tant attendue, les habitants avaient été évacués des villes, dirigés vers les campagnes et contraints à exécuter des travaux forcés. Près d'un quart de la population périt à cause de la faim, de 1a maladie, de l'épuisement et des exécutions. Chansocthony Hean avait dix-huit ans.
Avec ses parents, ses grands-parents et ses sept frères et soeurs, elle a vécu cette déportation dans la province de Preah Vihear. A l'exception de ses grands-parents, le reste de la famille avait frôlé une ou plusieurs fois la mort, mais tous s'en étaient sortis vivants. Cela grâce en partie aux ressources naturelles qu'offre la forêt cambodgienne que leur père connaissait particulièrement bien. Cet ouvrage est un témoignage exceptionnel.
C'est un document intelligent et poignant permettant de comprendre comment a évolué, d'une étape à l'autre, la société cambodgienne à l'époque moderne.
Le 17 avril 1975, après cinq ans de guerre civile, Phnom Penh, la capitale du Cambodge, tombait dans les mains des Khmers rouges. Au lieu d'une paix tant attendue, les habitants avaient été évacués des villes, dirigés vers les campagnes et contraints à exécuter des travaux forcés. Près d'un quart de la population périt à cause de la faim, de 1a maladie, de l'épuisement et des exécutions. Chansocthony Hean avait dix-huit ans.
Avec ses parents, ses grands-parents et ses sept frères et soeurs, elle a vécu cette déportation dans la province de Preah Vihear. A l'exception de ses grands-parents, le reste de la famille avait frôlé une ou plusieurs fois la mort, mais tous s'en étaient sortis vivants. Cela grâce en partie aux ressources naturelles qu'offre la forêt cambodgienne que leur père connaissait particulièrement bien. Cet ouvrage est un témoignage exceptionnel.
C'est un document intelligent et poignant permettant de comprendre comment a évolué, d'une étape à l'autre, la société cambodgienne à l'époque moderne.