C'est la faute des actionnaires !. Fausses croyances et vrais débats
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- Nombre de pages314
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.342 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,3 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-13-084441-9
- EAN9782130844419
- Date de parution05/04/2023
- ÉditeurPUF
Résumé
Certaines croyances sur les actionnaires sont très répandues : recherche d'une rentabilité de 15 % qui serait excessive et non soutenable, obsession du court terme, prélèvement de dividendes empêchant les entreprises d'investir et de recruter... Ces critiques ne sont pourtant pas confirmées par les observations empiriques et les travaux des chercheurs qui montrent que, si de tels comportements existent, il ne s'agit pas de pratiques généralisées.
La diffusion de ces croyances est favorisée par des présupposés idéologiques, une culture financière peu développée et un traitement médiatique qui met en avant des anecdotes peu représentatives, privilégiant souvent l'intuition et l'indignation à l'analyse rigoureuse des faits. Elle tend à escamoter les vrais débats sur le rôle que peuvent jouer les actionnaires dans la transition écologique en modifiant leurs politiques d'investissement (finance verte) et en encourageant les entreprises à prendre en compte les contraintes environnementales.
Cette transition ne saurait cependant être assurée sans des politiques publiques volontaristes et un engagement des citoyens et consommateurs.
La diffusion de ces croyances est favorisée par des présupposés idéologiques, une culture financière peu développée et un traitement médiatique qui met en avant des anecdotes peu représentatives, privilégiant souvent l'intuition et l'indignation à l'analyse rigoureuse des faits. Elle tend à escamoter les vrais débats sur le rôle que peuvent jouer les actionnaires dans la transition écologique en modifiant leurs politiques d'investissement (finance verte) et en encourageant les entreprises à prendre en compte les contraintes environnementales.
Cette transition ne saurait cependant être assurée sans des politiques publiques volontaristes et un engagement des citoyens et consommateurs.
Certaines croyances sur les actionnaires sont très répandues : recherche d'une rentabilité de 15 % qui serait excessive et non soutenable, obsession du court terme, prélèvement de dividendes empêchant les entreprises d'investir et de recruter... Ces critiques ne sont pourtant pas confirmées par les observations empiriques et les travaux des chercheurs qui montrent que, si de tels comportements existent, il ne s'agit pas de pratiques généralisées.
La diffusion de ces croyances est favorisée par des présupposés idéologiques, une culture financière peu développée et un traitement médiatique qui met en avant des anecdotes peu représentatives, privilégiant souvent l'intuition et l'indignation à l'analyse rigoureuse des faits. Elle tend à escamoter les vrais débats sur le rôle que peuvent jouer les actionnaires dans la transition écologique en modifiant leurs politiques d'investissement (finance verte) et en encourageant les entreprises à prendre en compte les contraintes environnementales.
Cette transition ne saurait cependant être assurée sans des politiques publiques volontaristes et un engagement des citoyens et consommateurs.
La diffusion de ces croyances est favorisée par des présupposés idéologiques, une culture financière peu développée et un traitement médiatique qui met en avant des anecdotes peu représentatives, privilégiant souvent l'intuition et l'indignation à l'analyse rigoureuse des faits. Elle tend à escamoter les vrais débats sur le rôle que peuvent jouer les actionnaires dans la transition écologique en modifiant leurs politiques d'investissement (finance verte) et en encourageant les entreprises à prendre en compte les contraintes environnementales.
Cette transition ne saurait cependant être assurée sans des politiques publiques volontaristes et un engagement des citoyens et consommateurs.