Bréviaire de l'amour expérimental. Méditations sur le mariage selon la physiologie du genre humain

Par : Jules Guyot

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  • Nombre de pages110
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.072 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-228-90724-8
  • EAN9782228907248
  • Date de parution08/02/2012
  • CollectionPetite Bibliothèque Payot
  • ÉditeurPayot
  • PréfacierSylvie Chaperon

Résumé

En amour, les hommes se préoccupent trop de leur propre plaisir et pas suffisamment de celui des femmes. Cette plainte, encore aujourd’hui, résonne dans tous les cabinets de gynécologie ou de sexologie, et dans une majorité des témoignages publiés dans la presse. Un homme pourtant a dénoncé cet égoïsme dès le XIXe siècle et clamé que l’orgasme de la femme était le ciment du couple. Il fut probablement le premier à le faire.
Son nom : Jules Guyot (1807-1872). La postérité n’a rien retenu, hélas, de son épouse, née Louise-Élisabeth Baudrand, et de lui on sait surtout qu’il modernisa la viticulture française, qu’il fut un inventeur malheureux et qu’une variété de poire porte son nom. C’est un tort. Son texte, Bréviaire de l’amour expérimental, publié à titre posthume en 1882, se vendit bientôt à plus de 10 000 exemplaires, chiffre très important pour l’époque, preuve qu’il touchait juste.
Il devrait encore concerner un certain nombre de personnes…
En amour, les hommes se préoccupent trop de leur propre plaisir et pas suffisamment de celui des femmes. Cette plainte, encore aujourd’hui, résonne dans tous les cabinets de gynécologie ou de sexologie, et dans une majorité des témoignages publiés dans la presse. Un homme pourtant a dénoncé cet égoïsme dès le XIXe siècle et clamé que l’orgasme de la femme était le ciment du couple. Il fut probablement le premier à le faire.
Son nom : Jules Guyot (1807-1872). La postérité n’a rien retenu, hélas, de son épouse, née Louise-Élisabeth Baudrand, et de lui on sait surtout qu’il modernisa la viticulture française, qu’il fut un inventeur malheureux et qu’une variété de poire porte son nom. C’est un tort. Son texte, Bréviaire de l’amour expérimental, publié à titre posthume en 1882, se vendit bientôt à plus de 10 000 exemplaires, chiffre très important pour l’époque, preuve qu’il touchait juste.
Il devrait encore concerner un certain nombre de personnes…