De temps en temps, j’aime faire une petite incursion dans des romans fantastiques. Ces univers différents sont en réalité pour moi et certainement pour les auteurs dans une moindre mesure, un moyen de parler plus librement de problèmes bien de chez nous, de notre monde. Parfois, c’est clair comme de l’eau de roche, parfois, c’est plus obscur, moins accessible. On est plutôt dans ce dernier cas de figure.
C’est en tout cas mon ressenti après cette lecture de « Blue pour Irontown », mais c’est mon premier John Varley qui lui n’est pas un débutant. D’ailleurs après m’être un peu documentée, je pense surtout qu’il m’a manqué des références présentes dans ses autres écrits.
« Blues pour Irontown », comme beaucoup de saga aujourd’hui, peut se lire indépendamment (comme un one shot) du reste de l’œuvre, mais parfois le goût du manque, de l’inachevé est plus présent.
L’intrigue est plutôt linéaire, le rythme pas haletant ou tout au moins je n’ai pas perdu mon souffle. Limite j’ai frôlé l’ennui et je n’aime pas cela.
Les personnages sont un peu mieux et j’ai beaucoup aimé Sherlock. Alors oui, mon côté « j’aime les animaux bientôt plus que mes congénères » a joué indéniablement, mais voilà… Les autres n’étaient pas mal, mais pas de coup de foudre non plus. Compliqué de trouver une réelle affinité.
L’écriture n’est pas mauvaise en soi. Juste il m’a manqué l’étincelle, le petit plus qui fait que le livre ne quitte pas mes mains. Trop de redondances avec le choix stylistique de la narration. C’était le risque.
Un roman qui n’est pas mauvais, mais qui reste trop en surface pour moi ou bien je n’ai pas su saisir les perches tendues. Possible aussi. Une lecture est une rencontre et parfois, on rate le rendez-vous ou bien on est en retard ce qui peut avoir un impact sur le ressenti final.
Bref, j’ai bien eu un peu le blues…
De temps en temps, j’aime faire une petite incursion dans des romans fantastiques. Ces univers différents sont en réalité pour moi et certainement pour les auteurs dans une moindre mesure, un moyen de parler plus librement de problèmes bien de chez nous, de notre monde. Parfois, c’est clair comme de l’eau de roche, parfois, c’est plus obscur, moins accessible. On est plutôt dans ce dernier cas de figure.
C’est en tout cas mon ressenti après cette lecture de « Blue pour Irontown », mais c’est mon premier John Varley qui lui n’est pas un débutant. D’ailleurs après m’être un peu documentée, je pense surtout qu’il m’a manqué des références présentes dans ses autres écrits.
« Blues pour Irontown », comme beaucoup de saga aujourd’hui, peut se lire indépendamment (comme un one shot) du reste de l’œuvre, mais parfois le goût du manque, de l’inachevé est plus présent.
L’intrigue est plutôt linéaire, le rythme pas haletant ou tout au moins je n’ai pas perdu mon souffle. Limite j’ai frôlé l’ennui et je n’aime pas cela.
Les personnages sont un peu mieux et j’ai beaucoup aimé Sherlock. Alors oui, mon côté « j’aime les animaux bientôt plus que mes congénères » a joué indéniablement, mais voilà… Les autres n’étaient pas mal, mais pas de coup de foudre non plus. Compliqué de trouver une réelle affinité.
L’écriture n’est pas mauvaise en soi. Juste il m’a manqué l’étincelle, le petit plus qui fait que le livre ne quitte pas mes mains. Trop de redondances avec le choix stylistique de la narration. C’était le risque.
Un roman qui n’est pas mauvais, mais qui reste trop en surface pour moi ou bien je n’ai pas su saisir les perches tendues. Possible aussi. Une lecture est une rencontre et parfois, on rate le rendez-vous ou bien on est en retard ce qui peut avoir un impact sur le ressenti final.
Bref, j’ai bien eu un peu le blues…