Bioéthique et droit. Interactions

Par : Philippe Pirnay

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  • Nombre de pages154
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.145 kg
  • Dimensions11,5 cm × 18,0 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-84874-185-7
  • EAN9782848741857
  • Date de parution01/03/2011
  • CollectionEssentiel
  • ÉditeurLEH édition

Résumé

Comment l'éthique et le droit se nourrissent-ils l'un et l'autre ? Pourquoi ont-ils besoin l'un de l'autre pour évoluer ? Face au danger de voir progresser les sciences de la vie de manière incontrôlée, la bioéthique a voulu pallier le vide textuel et définir l'ensemble des règles juridiques. Après une réflexion sur les spécificités du droit de la bioéthique, l'auteur se demande pourquoi l'éthique ferait-elle changer le droit ? Philippe Pirnay soulève la question de la fin de vie dans laquelle le droit s'est aventuré.
Beaucoup n'acceptant pas l'idée d'un droit qui enregistrerait mécaniquement l'évolution de la société, la question est posée à l'envers : pourquoi le droit prendrait le pas sur l'éthique ? La loi permet, en matière de bioéthique et de dignité, l'égalité de tous devant elle. L'ouvrage revient sur les deux lois du 29 juillet 1994, dites " de bioéthique ", et sur celle du 6 août 2004, précisant leurs spécificités et analysant le retard de leur réexamen, et plus précisément sur le statut de l'embryon, pour comprendre le rôle du droit sur les sujets éthiques.
Parce que le droit est ici encore silencieux, l'ouvrage propose enfin une réflexion sur la greffe du visage où questions éthiques et juridiques s'emmêlent. Les réponses révisables sans cesse montrent que ces questions d'éthique sont difficiles à traduire en droit et difficiles à réformer ; c'est pourquoi éthique et droit restent complémentaires.
Comment l'éthique et le droit se nourrissent-ils l'un et l'autre ? Pourquoi ont-ils besoin l'un de l'autre pour évoluer ? Face au danger de voir progresser les sciences de la vie de manière incontrôlée, la bioéthique a voulu pallier le vide textuel et définir l'ensemble des règles juridiques. Après une réflexion sur les spécificités du droit de la bioéthique, l'auteur se demande pourquoi l'éthique ferait-elle changer le droit ? Philippe Pirnay soulève la question de la fin de vie dans laquelle le droit s'est aventuré.
Beaucoup n'acceptant pas l'idée d'un droit qui enregistrerait mécaniquement l'évolution de la société, la question est posée à l'envers : pourquoi le droit prendrait le pas sur l'éthique ? La loi permet, en matière de bioéthique et de dignité, l'égalité de tous devant elle. L'ouvrage revient sur les deux lois du 29 juillet 1994, dites " de bioéthique ", et sur celle du 6 août 2004, précisant leurs spécificités et analysant le retard de leur réexamen, et plus précisément sur le statut de l'embryon, pour comprendre le rôle du droit sur les sujets éthiques.
Parce que le droit est ici encore silencieux, l'ouvrage propose enfin une réflexion sur la greffe du visage où questions éthiques et juridiques s'emmêlent. Les réponses révisables sans cesse montrent que ces questions d'éthique sont difficiles à traduire en droit et difficiles à réformer ; c'est pourquoi éthique et droit restent complémentaires.