Avis a mon exécuteur

Par : Romain Slocombe
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  • Nombre de pages504
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.492 kg
  • Dimensions13,3 cm × 21,1 cm × 3,4 cm
  • ISBN978-2-221-13516-7
  • EAN9782221135167
  • Date de parution21/08/2014
  • ÉditeurRobert Laffont

Résumé

Lundi 10 février 1941, Washington D-C, hôtel Bellevue. Un homme arrivé la veille est retrouvé mort d’une balle dans la tête, une arme près de lui. Personne ne sait encore que l’inconnu a été l’un des plus importants agents secrets des services de renseignements soviétiques, un témoin des pires conflits politiques du XXe siècle. Quels démons ont finalement arraché sa naïveté au Juif polonais Victor Krebnitsky qui partageait, lui aussi, le rêve d’une révolution mondiale ? En 1936, Victor découvre l’emprise stalinienne sur la révolution en Catalogne : prisons secrètes dignes de l’Inquisition, assassinats par le NKVD de militants soupçonnés de trotskysme, trafics d’oeuvres d’art.
Malgré lui, il participe à l’élimination d’un transfuge soviétique, mais il est trop tard pour quitter les rangs : l’époque est à la suspicion et aux purges, les camarades de Victor sont liquidés… Le formidable rouleau compresseur soviétique n’épargnera pas les communistes les plus sincères. Tandis qu’à Moscou, les fonctionnaires du NKVD se défenestrent pour échapper à l’arrestation et aux tortures, Victor doit gagner Paris et honorer une mission : la traque de son meilleur ami et l’assassinat de la femme de celui-ci.
En dépit des menaces qui pèsent sur sa propre famille, il refuse de commettre ce dernier crime. Désormais condamné à une exécution officieuse, le chasseur Victor Krebnitsky devient gibier, ne pouvant plus compter que sur sa ruse et son exceptionnel talent de caméléon. Il reste un moment à Paris auprès du fils de Trotsky, sous la protection du gouvernement de Léon Blum, dans l’ombre des intellectuels qui chantent les prodiges du socialisme russe.
Puis il fuit aux Etats-Unis, une arme explosive en poche : le document secret prouvant la trahison et le "grand mensonge" de Staline. S’en servir signifie la mort. Pourtant, c’est la seule chance qu’il lui reste de sauver son épouse et son fils…
Lundi 10 février 1941, Washington D-C, hôtel Bellevue. Un homme arrivé la veille est retrouvé mort d’une balle dans la tête, une arme près de lui. Personne ne sait encore que l’inconnu a été l’un des plus importants agents secrets des services de renseignements soviétiques, un témoin des pires conflits politiques du XXe siècle. Quels démons ont finalement arraché sa naïveté au Juif polonais Victor Krebnitsky qui partageait, lui aussi, le rêve d’une révolution mondiale ? En 1936, Victor découvre l’emprise stalinienne sur la révolution en Catalogne : prisons secrètes dignes de l’Inquisition, assassinats par le NKVD de militants soupçonnés de trotskysme, trafics d’oeuvres d’art.
Malgré lui, il participe à l’élimination d’un transfuge soviétique, mais il est trop tard pour quitter les rangs : l’époque est à la suspicion et aux purges, les camarades de Victor sont liquidés… Le formidable rouleau compresseur soviétique n’épargnera pas les communistes les plus sincères. Tandis qu’à Moscou, les fonctionnaires du NKVD se défenestrent pour échapper à l’arrestation et aux tortures, Victor doit gagner Paris et honorer une mission : la traque de son meilleur ami et l’assassinat de la femme de celui-ci.
En dépit des menaces qui pèsent sur sa propre famille, il refuse de commettre ce dernier crime. Désormais condamné à une exécution officieuse, le chasseur Victor Krebnitsky devient gibier, ne pouvant plus compter que sur sa ruse et son exceptionnel talent de caméléon. Il reste un moment à Paris auprès du fils de Trotsky, sous la protection du gouvernement de Léon Blum, dans l’ombre des intellectuels qui chantent les prodiges du socialisme russe.
Puis il fuit aux Etats-Unis, une arme explosive en poche : le document secret prouvant la trahison et le "grand mensonge" de Staline. S’en servir signifie la mort. Pourtant, c’est la seule chance qu’il lui reste de sauver son épouse et son fils…

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Commentaires laissés par nos lecteurs

2.8/5
sur 6 notes dont 5 avis lecteurs
spéciale
j'ai lus ce livre en format numérique,j'ai découvert l'urss de plus prés,c'est de l'espionnage a travers leur agent.ca nous donne une autre vision de notre monde actuel. blog:http://liseuses.org/
j'ai lus ce livre en format numérique,j'ai découvert l'urss de plus prés,c'est de l'espionnage a travers leur agent.ca nous donne une autre vision de notre monde actuel. blog:http://liseuses.org/
  • XXe siècle
  • histoire
Avis à mon exécuteur
J’ai retrouvé avec plaisir la plume de Romain Slocombe que j’avais découvert avec « Monsieur le commandant« . Dans ce nouvel opus très dense, l’auteur nous fait découvrir l’URSS du temps de Staline. Le héros prend ses fonctions de rezident au moment de la Guerre d’Espagne, nous faisant découvrir ainsi l’envers du décor de la partie d’échec politique qui s’est jouée à ce moment-là. Puis vient le temps des Grandes Purges dont le narrateur nous explique le mécanisme et l’arrière-cour. Enfin, ce qui fait le sel du roman : le fameux document révélant le « Grand mensonge » de Staline. (N’insistez pas, je ne vous dirait rien, si ce n’est que j’ai encore du mal à y croire). Il nous décrit également l’agonie du Petit Père des Peuple pendant 4 jours, personne n’osant l’approcher et encore moins le soigner. Triste fin que celle des dictateurs… Et encore se sera-t-il éteint dans sa datcha. Et puis le message du narrateur : le délateur est souvent un ami proche, très proche. L’auteur documente en fin de volume la base de son roman. Des nombreux noms cités, je n’en retiendrai sans doute aucun, si ce n’est celui de Lejov, l’homme « effacé » par Staline. L’image que je retiendrai : Celle de la femme et de la fille de Victor, obligées de vivre chichement après la mort de ce dernier. https://alexmotamots.wordpress.com/2015/03/29/avis-a-mon-executeur-romain-slocombe/#comments
J’ai retrouvé avec plaisir la plume de Romain Slocombe que j’avais découvert avec « Monsieur le commandant« . Dans ce nouvel opus très dense, l’auteur nous fait découvrir l’URSS du temps de Staline. Le héros prend ses fonctions de rezident au moment de la Guerre d’Espagne, nous faisant découvrir ainsi l’envers du décor de la partie d’échec politique qui s’est jouée à ce moment-là. Puis vient le temps des Grandes Purges dont le narrateur nous explique le mécanisme et l’arrière-cour. Enfin, ce qui fait le sel du roman : le fameux document révélant le « Grand mensonge » de Staline. (N’insistez pas, je ne vous dirait rien, si ce n’est que j’ai encore du mal à y croire). Il nous décrit également l’agonie du Petit Père des Peuple pendant 4 jours, personne n’osant l’approcher et encore moins le soigner. Triste fin que celle des dictateurs… Et encore se sera-t-il éteint dans sa datcha. Et puis le message du narrateur : le délateur est souvent un ami proche, très proche. L’auteur documente en fin de volume la base de son roman. Des nombreux noms cités, je n’en retiendrai sans doute aucun, si ce n’est celui de Lejov, l’homme « effacé » par Staline. L’image que je retiendrai : Celle de la femme et de la fille de Victor, obligées de vivre chichement après la mort de ce dernier. https://alexmotamots.wordpress.com/2015/03/29/avis-a-mon-executeur-romain-slocombe/#comments
  • URSS
  • guerre d'Espagne
Pas mal quand on aime le genre
Ce roman est fait pour les fans de romans d'espionnage avec un truc en plus, un réalisme qui fait de l'intrigue quelque chose de plus efficace mais aussi de plus proche du lecteur. Il est question ici d'espion, de complot, de nazis cachés et "suicidés". Le style est simple et froid, l'auteur décrit les évènements en narrateur distant, qui a pris du recul avec les années. C'est plutôt bien fait, on se prend au jeu et on suit l'histoire sans problème. J'ai crains un peu de me perdre parmi la multitude de personnages, mais la narration est bien faite et on ne s'égare pas. C'est donc un roman efficace qui saura sans doute trouver sa cible. Si vous aimez les complots et les histoires d'espion, n'hésitez pas.
Ce roman est fait pour les fans de romans d'espionnage avec un truc en plus, un réalisme qui fait de l'intrigue quelque chose de plus efficace mais aussi de plus proche du lecteur. Il est question ici d'espion, de complot, de nazis cachés et "suicidés". Le style est simple et froid, l'auteur décrit les évènements en narrateur distant, qui a pris du recul avec les années. C'est plutôt bien fait, on se prend au jeu et on suit l'histoire sans problème. J'ai crains un peu de me perdre parmi la multitude de personnages, mais la narration est bien faite et on ne s'égare pas. C'est donc un roman efficace qui saura sans doute trouver sa cible. Si vous aimez les complots et les histoires d'espion, n'hésitez pas.
  • histoire
  • espionnage
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