Auguste Champetier de Ribes. La foi dans la République

Par : Philippe Dazet-Brun

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  • Nombre de pages200
  • PrésentationBroché
  • Poids0.225 kg
  • Dimensions12,0 cm × 18,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-36666-063-0
  • EAN9782366660630
  • Date de parution26/06/2015
  • ÉditeurGascogne (Editions)

Résumé

Auguste Champetier de Ribes Adepte du christianisme social, disciple d'Albert de Mun, Auguste Champetier de Ribes fut plusieurs fois ministre dans les années 1930, notamment dans le cabinet d'Edouard Daladier. Il refusa de voter les pleins pouvoirs à Pétain le 10 juillet 1940. Retiré dans son département, il dirigea le mouvement Combat. Premier chef de parti à reconnaître l'autorité du général de Gaulle en qualité de chef de la France libre, il fut membre de l'Assemblée consultative provisoire à la Libération.
De Gaulle le nomma délégué du GPRF auprès du Tribunal militaire de Nuremberg. Lorsque le procureur général de France François de Menthon quitte Nuremberg à la suite de la démission de De Gaulle au gouvernement, c'est Auguste Champetier de Ribes qui le remplace à cette tache. A son retour, il devint président du Conseil de la République le 27 décembre 1946. Le 16 janvier 1947, il fut le candidat du MRP à la présidence de la République contre le socialiste Vincent Auriol.
La maladie l'empêcha d'assumer sa fonction de président de la Haute Assemblée, et il décéda quelques mois plus tard.
Auguste Champetier de Ribes Adepte du christianisme social, disciple d'Albert de Mun, Auguste Champetier de Ribes fut plusieurs fois ministre dans les années 1930, notamment dans le cabinet d'Edouard Daladier. Il refusa de voter les pleins pouvoirs à Pétain le 10 juillet 1940. Retiré dans son département, il dirigea le mouvement Combat. Premier chef de parti à reconnaître l'autorité du général de Gaulle en qualité de chef de la France libre, il fut membre de l'Assemblée consultative provisoire à la Libération.
De Gaulle le nomma délégué du GPRF auprès du Tribunal militaire de Nuremberg. Lorsque le procureur général de France François de Menthon quitte Nuremberg à la suite de la démission de De Gaulle au gouvernement, c'est Auguste Champetier de Ribes qui le remplace à cette tache. A son retour, il devint président du Conseil de la République le 27 décembre 1946. Le 16 janvier 1947, il fut le candidat du MRP à la présidence de la République contre le socialiste Vincent Auriol.
La maladie l'empêcha d'assumer sa fonction de président de la Haute Assemblée, et il décéda quelques mois plus tard.