Au sommet de la vérité. Les velléités d'indépendance de mon pays
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- Nombre de pages80
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.114 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-14-029241-5
- EAN9782140292415
- Date de parution14/09/2022
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Sous l'ère de la modernité et de ses aléas, on assiste à une restructuration de l'ensemble des sensibilités que comporte le monde dans son ensemble et dans sa vue d'ensemble. Dans ce cas d'espèce, l'auteur nous édifie sur les réalités de destruction d'un vécu idéal, d'un destin commun épanoui qui s'étend vers l'irréparable. En dépit d'un paradoxe qui accentue cet existentialisme, l'auteur envisage une solution en posant un débat qui fustige la mentalité sénégalaise qui apparait toutefois sous plusieurs formes et sous différents angles. A cet effet, il pose un regard intéressant sur le prototype de "l'homo senegalensis" qui consiste à désavouer sa propre identité, à adopter et à incarner des vertus qui ne lui sont pas propres et se retrouve être démystifié dans son appartenance. Le paradoxe de la culture occidentale mis en évidence, le peuple reste soumis sans en être conscient, le colonialisme modernisé dans sa pratique contamine la génération actuelle qui oublie ses antécédents.
Sous l'ère de la modernité et de ses aléas, on assiste à une restructuration de l'ensemble des sensibilités que comporte le monde dans son ensemble et dans sa vue d'ensemble. Dans ce cas d'espèce, l'auteur nous édifie sur les réalités de destruction d'un vécu idéal, d'un destin commun épanoui qui s'étend vers l'irréparable. En dépit d'un paradoxe qui accentue cet existentialisme, l'auteur envisage une solution en posant un débat qui fustige la mentalité sénégalaise qui apparait toutefois sous plusieurs formes et sous différents angles. A cet effet, il pose un regard intéressant sur le prototype de "l'homo senegalensis" qui consiste à désavouer sa propre identité, à adopter et à incarner des vertus qui ne lui sont pas propres et se retrouve être démystifié dans son appartenance. Le paradoxe de la culture occidentale mis en évidence, le peuple reste soumis sans en être conscient, le colonialisme modernisé dans sa pratique contamine la génération actuelle qui oublie ses antécédents.