Au seuil du Grand Voyage. Entretiens inédits avec Pierre Mac Orlan (1969-1970)

Par : Claudine Brelet

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  • Nombre de pages134
  • PrésentationBroché
  • Poids0.25 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-84621-196-3
  • EAN9782846211963
  • Date de parution02/01/2014
  • CollectionLittérature
  • ÉditeurParis - Max Chaleil
  • Personne interviewéePierre Mac Orlan

Résumé

Deux voyageurs dans l'âme se rencontrent. Pierre Mac Orlan a 88 ans et pourrait être le grand-père de la jeune femme venue l'interviewer. Une amitié se noue. Fascinée par le "maître du fantastique social", elle lui prête une oreille quasi filiale, à la fois rieuse et attentive. Au seuil du Grand Voyage, Pierre Mac Orlan, oublieux de sa mélancolie littéraire dans sa maison de Saint-Cyr-sur-Morin, lui peint à coeur ouvert la fresque de sa longue vie qui s'achèvera un an plus tard, en juin 1970.
Un récit tonique, vif et parfois râleur. Les souvenirs de ses rencontres avec de grands artistes (Picasso, Apollinaire, Vlaminck), amis de ses jeunes années dans le Montmartre des apaches et de Toulouse-Lautrec, surgissent et s'entremêlent de confidences doublées d'un regard acéré et malicieux sur les femmes, l'érotisme et le monde littéraire. Détestant la guerre, mais admirant le courage des soldats, Mac Orlan manie le paradoxe avec humour, pour ranimer les ombres d'une époque qu'il redoutait de voir disparaître à jamais.
Plus que des entretiens sur le mode littéraire classique, cet ouvrage est l'autoportrait de ce grand écrivain romantique et rebelle, plus écossais que nature, rugbyman combatif et fin lettré, qui eut pour culte la liberté et pour rêve la fraternité humaine.
Deux voyageurs dans l'âme se rencontrent. Pierre Mac Orlan a 88 ans et pourrait être le grand-père de la jeune femme venue l'interviewer. Une amitié se noue. Fascinée par le "maître du fantastique social", elle lui prête une oreille quasi filiale, à la fois rieuse et attentive. Au seuil du Grand Voyage, Pierre Mac Orlan, oublieux de sa mélancolie littéraire dans sa maison de Saint-Cyr-sur-Morin, lui peint à coeur ouvert la fresque de sa longue vie qui s'achèvera un an plus tard, en juin 1970.
Un récit tonique, vif et parfois râleur. Les souvenirs de ses rencontres avec de grands artistes (Picasso, Apollinaire, Vlaminck), amis de ses jeunes années dans le Montmartre des apaches et de Toulouse-Lautrec, surgissent et s'entremêlent de confidences doublées d'un regard acéré et malicieux sur les femmes, l'érotisme et le monde littéraire. Détestant la guerre, mais admirant le courage des soldats, Mac Orlan manie le paradoxe avec humour, pour ranimer les ombres d'une époque qu'il redoutait de voir disparaître à jamais.
Plus que des entretiens sur le mode littéraire classique, cet ouvrage est l'autoportrait de ce grand écrivain romantique et rebelle, plus écossais que nature, rugbyman combatif et fin lettré, qui eut pour culte la liberté et pour rêve la fraternité humaine.