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- Nombre de pages637
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.315 kg
- Dimensions10,9 cm × 17,8 cm × 2,7 cm
- ISBN2-07-036351-1
- EAN9782070363513
- Date de parution16/03/1973
- CollectionFolio
- ÉditeurGallimard
- TraducteurStephen Spriel
- PostfacierMax-Pol Fouchet
Résumé
Traduit de l'anglais par Stephen Spriel
Avec la collaboration de Clarisse Francillon et de l'auteur
Aussi quand tu partis, Yvonne, j'allai à Oaxaca. Pas de plus triste mot. Te dirai-je, Yvonne, le terrible voyage à travers le désert, dans le chemin de fer à voie étroite, sur le chevalet de torture d'une banquette de troisième classe, l'enfant dont nous avons sauvé la vie, sa mère et moi, en lui frottant le ventre de la tequila de ma bouteille, ou comment, m'en allant dans ma chambre en l'hôtel où nous fûmes heureux, le bruit d'égorgement en bas dans la cuisine me chassa dans l'éblouissement de la rue, et plus tard, cette nuit-là, le vautour accroupi dans la cuvette du lavabo ? Horreur à la mesure de nerfs de géant !
" Un chef-d'œuvre comme il n' en a pas dix par siècle " (Paul Morelle, Le Monde).
" Une œuvre prodigieuse... On n'épuise pas cet ouvrage bouleversant. Il faut le lire et le relire afin d'en mieux pénétrer la signification et d'en mieux savourer les beautés " (Maurice Nadeau).
Traduit de l'anglais par Stephen Spriel
Avec la collaboration de Clarisse Francillon et de l'auteur
Aussi quand tu partis, Yvonne, j'allai à Oaxaca. Pas de plus triste mot. Te dirai-je, Yvonne, le terrible voyage à travers le désert, dans le chemin de fer à voie étroite, sur le chevalet de torture d'une banquette de troisième classe, l'enfant dont nous avons sauvé la vie, sa mère et moi, en lui frottant le ventre de la tequila de ma bouteille, ou comment, m'en allant dans ma chambre en l'hôtel où nous fûmes heureux, le bruit d'égorgement en bas dans la cuisine me chassa dans l'éblouissement de la rue, et plus tard, cette nuit-là, le vautour accroupi dans la cuvette du lavabo ? Horreur à la mesure de nerfs de géant !
" Un chef-d'œuvre comme il n' en a pas dix par siècle " (Paul Morelle, Le Monde).
" Une œuvre prodigieuse... On n'épuise pas cet ouvrage bouleversant. Il faut le lire et le relire afin d'en mieux pénétrer la signification et d'en mieux savourer les beautés " (Maurice Nadeau).
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