Au delà des vents du nord. L'extrême droite, le pôle nord et les indo-européens
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- Nombre de pages319
- PrésentationBroché
- Poids0.434 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-7297-0874-0
- EAN9782729708740
- Date de parution27/03/2014
- ÉditeurPUL
- PréfacierLaurent Olivier
Résumé
Depuis les années 1960 se synthétise, notamment autour de la Nouvelle-Droite, du Groupement de recherche et d'études pour la civilisation européenne (GREGE) et de figures comme celle d'Alain de Benoist, une pensée qui imprègne toute l'extrême droite occidentale. Elle est à la fois l'héritière des thèses de Gobineau, de Günther et du nazisme, et le résultat d'un effort pour s'en affranchir : une pensée racialiste et raciste, mais selon des principes culturels plutôt que biologiques ; un discours anticapitaliste, anti-occidental, antichrétien, mais sur fond d'un différentialisme pris chez Lévi-Strauss.
Dans cette nébuleuse où les trajectoires sont diverses, il y a un point de fuite : le mythe nordique. Stéphane François propose ici une lecture des sources et des formes de cette littérature d'extrême droite qui a inventé ou réinventé une anthropologie politique et archéologique des Indo-Européens, détournant notamment les travaux de Dumézil et se donnant pour berceau le pôle Nord : une anthropologie s'inscrivant dans la vieille tradition aryaniste, héritage pseudoscientifique de l'Occident du XIXe siècle.
Dans cette nébuleuse où les trajectoires sont diverses, il y a un point de fuite : le mythe nordique. Stéphane François propose ici une lecture des sources et des formes de cette littérature d'extrême droite qui a inventé ou réinventé une anthropologie politique et archéologique des Indo-Européens, détournant notamment les travaux de Dumézil et se donnant pour berceau le pôle Nord : une anthropologie s'inscrivant dans la vieille tradition aryaniste, héritage pseudoscientifique de l'Occident du XIXe siècle.
Depuis les années 1960 se synthétise, notamment autour de la Nouvelle-Droite, du Groupement de recherche et d'études pour la civilisation européenne (GREGE) et de figures comme celle d'Alain de Benoist, une pensée qui imprègne toute l'extrême droite occidentale. Elle est à la fois l'héritière des thèses de Gobineau, de Günther et du nazisme, et le résultat d'un effort pour s'en affranchir : une pensée racialiste et raciste, mais selon des principes culturels plutôt que biologiques ; un discours anticapitaliste, anti-occidental, antichrétien, mais sur fond d'un différentialisme pris chez Lévi-Strauss.
Dans cette nébuleuse où les trajectoires sont diverses, il y a un point de fuite : le mythe nordique. Stéphane François propose ici une lecture des sources et des formes de cette littérature d'extrême droite qui a inventé ou réinventé une anthropologie politique et archéologique des Indo-Européens, détournant notamment les travaux de Dumézil et se donnant pour berceau le pôle Nord : une anthropologie s'inscrivant dans la vieille tradition aryaniste, héritage pseudoscientifique de l'Occident du XIXe siècle.
Dans cette nébuleuse où les trajectoires sont diverses, il y a un point de fuite : le mythe nordique. Stéphane François propose ici une lecture des sources et des formes de cette littérature d'extrême droite qui a inventé ou réinventé une anthropologie politique et archéologique des Indo-Européens, détournant notamment les travaux de Dumézil et se donnant pour berceau le pôle Nord : une anthropologie s'inscrivant dans la vieille tradition aryaniste, héritage pseudoscientifique de l'Occident du XIXe siècle.