Au-delà de la rareté. L'anarchisme dans une société d'abondance

Par : Murray Bookchin

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  • Nombre de pages279
  • PrésentationBroché
  • Poids0.335 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,3 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-89719-239-6
  • EAN9782897192396
  • Date de parution26/02/2016
  • CollectionRetrouvailles
  • ÉditeurEcosociété (Editions)
  • TraducteurHelen Arnold
  • TraducteurDaniel Blanchard
  • TraducteurVincent Gerber
  • TraducteurAnnick Stevens

Résumé

Enfin traduit dans son intégralité en français, voici l’un des plus influents ouvrages de l’intellectuel étatsunien et une référence incontournable pour comprendre les origines théoriques de la notion d’écologie sociale. Pourquoi relire ou découvrir Murray Bookchin (1921-2006) aujourd’hui et plus particulièrement cet ouvrage de 1971 ? D’abord parce que c’est dans ce recueil de textes qu’il pose les premiers jalons de ce qu’il allait conceptualiser plus tard sous l’étiquette d’«écologie sociale».
Mais surtout parce qu’on y trouve une verve utopique qui fait grandement défaut à l’heure actuelle, nous rappelant que d’autres voies sont envisageables pour définir les règles du vivre-ensemble. La société que Bookchin s’attelle à imaginer est un système économique fondé sur les concepts d’écologie sociale, de municipalisme libertaire et d’abondance. Cette abondance correspond à une société dans laquelle l’être humain a amplement les moyens de satisfaire ses besoins d’existence pour se consacrer à l’assouvissement de ses désirs réels.
Précurseur sur le front des énergies renouvelables et des technologies permettant de réduire la pénibilité du travail, il y soutient que les sociétés post-industrielles ont le potentiel de muer en des sociétés d’abondance à même de favoriser l’accomplissement des potentialités sociales et culturelles latentes dans les éco-technologies. Dans ce recueil, Murray Bookchin combine sa vision anarchiste et écologiste avec les potentialités prometteuses d’une ère d’abondance.
Dépassant l’économie politique marxiste, ancrée dans une ère de pénurie matérielle, Bookchin soutient que les outils nécessaires pour une auto-organisation de la société ont largement été développés et que, combinés avec la perspective écologique, ils ont grandement modifié le paysage révolutionnaire.
Enfin traduit dans son intégralité en français, voici l’un des plus influents ouvrages de l’intellectuel étatsunien et une référence incontournable pour comprendre les origines théoriques de la notion d’écologie sociale. Pourquoi relire ou découvrir Murray Bookchin (1921-2006) aujourd’hui et plus particulièrement cet ouvrage de 1971 ? D’abord parce que c’est dans ce recueil de textes qu’il pose les premiers jalons de ce qu’il allait conceptualiser plus tard sous l’étiquette d’«écologie sociale».
Mais surtout parce qu’on y trouve une verve utopique qui fait grandement défaut à l’heure actuelle, nous rappelant que d’autres voies sont envisageables pour définir les règles du vivre-ensemble. La société que Bookchin s’attelle à imaginer est un système économique fondé sur les concepts d’écologie sociale, de municipalisme libertaire et d’abondance. Cette abondance correspond à une société dans laquelle l’être humain a amplement les moyens de satisfaire ses besoins d’existence pour se consacrer à l’assouvissement de ses désirs réels.
Précurseur sur le front des énergies renouvelables et des technologies permettant de réduire la pénibilité du travail, il y soutient que les sociétés post-industrielles ont le potentiel de muer en des sociétés d’abondance à même de favoriser l’accomplissement des potentialités sociales et culturelles latentes dans les éco-technologies. Dans ce recueil, Murray Bookchin combine sa vision anarchiste et écologiste avec les potentialités prometteuses d’une ère d’abondance.
Dépassant l’économie politique marxiste, ancrée dans une ère de pénurie matérielle, Bookchin soutient que les outils nécessaires pour une auto-organisation de la société ont largement été développés et que, combinés avec la perspective écologique, ils ont grandement modifié le paysage révolutionnaire.