Artisanes de la paix. La lutte mondiale pour les droits des femmes après la Grande Guerre

Par : Mona L. Siegel

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  • Nombre de pages311
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.555 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 2,4 cm
  • ISBN978-2-7210-0951-7
  • EAN9782721009517
  • Date de parution31/03/2022
  • CollectionEssais
  • ÉditeurDes Femmes
  • TraducteurCamille Chaplain

Résumé

A l'automne 1918, la Première Guerre mondiale à peine terminée, les généraux cèdent la place aux hommes d'Etat qui doivent définir les termes de l'armistice et ouvrir les négociations de paix. Des femmes politiquement engagées, notamment dans le mouvement pour le suffrage des femmes, n'entendent pas laisser les hommes décider seuls et demandent qu'une délégation soit reçue et admise à la table des négociations alors que doit se tenir la Conférence de la paix, à Paris.
Le refus du président des Etats-Unis, Woodrow Wilson, et du Premier ministre britannique, David Lloyd George, n'entame en rien leur détermination à agir : les femmes s'organisent entre elles et se préparent à exiger l'égalité des sexes et la justice sociale ainsi que des mesures pour instaurer une paix durable dans le monde d'après-guerre. La Conférence de la paix de Paris suscite une vague , de militantisme féminin sans précédent, attirant sur la scène internationale des femmes venues du monde entier pour défendre simultanément la paix, la démocratie et les droits des femmes.
Tel est le point de départ de cet ouvrage, dont le fil rouge pourrait être que "Nul ne peut se croire autorisé à parler au nom des peuples tant que les femmes seront exclues de la vie politique des nations", selon la formule de la féministe et suffragiste française Marguerite de Witt Schlumberger. "Aujourd'hui, plus de cent ans après, la lutte pour les droits des femmes dans le monde se poursuit sans relâche.
Suivant les traces des pionnières courageuses et audacieuses de 1919, une nouvelle génération pourrait encore trouver le chemin d'un ordre mondial plus juste et plus équitable."
A l'automne 1918, la Première Guerre mondiale à peine terminée, les généraux cèdent la place aux hommes d'Etat qui doivent définir les termes de l'armistice et ouvrir les négociations de paix. Des femmes politiquement engagées, notamment dans le mouvement pour le suffrage des femmes, n'entendent pas laisser les hommes décider seuls et demandent qu'une délégation soit reçue et admise à la table des négociations alors que doit se tenir la Conférence de la paix, à Paris.
Le refus du président des Etats-Unis, Woodrow Wilson, et du Premier ministre britannique, David Lloyd George, n'entame en rien leur détermination à agir : les femmes s'organisent entre elles et se préparent à exiger l'égalité des sexes et la justice sociale ainsi que des mesures pour instaurer une paix durable dans le monde d'après-guerre. La Conférence de la paix de Paris suscite une vague , de militantisme féminin sans précédent, attirant sur la scène internationale des femmes venues du monde entier pour défendre simultanément la paix, la démocratie et les droits des femmes.
Tel est le point de départ de cet ouvrage, dont le fil rouge pourrait être que "Nul ne peut se croire autorisé à parler au nom des peuples tant que les femmes seront exclues de la vie politique des nations", selon la formule de la féministe et suffragiste française Marguerite de Witt Schlumberger. "Aujourd'hui, plus de cent ans après, la lutte pour les droits des femmes dans le monde se poursuit sans relâche.
Suivant les traces des pionnières courageuses et audacieuses de 1919, une nouvelle génération pourrait encore trouver le chemin d'un ordre mondial plus juste et plus équitable."