Dans la tragédie Ariane, conçue comme le premier volet d'une trilogie consacrée à Thésée, Tsvétaeva propose une interprétation très personnelle du mythe ancien : ce n'est ni par égoïsme ni par effroi que, sur l'île de Naxos, Thésée renonce à Ariane, mais bien par amour, afin que la femme reçoive d'un dieu ce que l'homme, en ses limites, ne pouvait lui donner.
Dans la tragédie Ariane, conçue comme le premier volet d'une trilogie consacrée à Thésée, Tsvétaeva propose une interprétation très personnelle du mythe ancien : ce n'est ni par égoïsme ni par effroi que, sur l'île de Naxos, Thésée renonce à Ariane, mais bien par amour, afin que la femme reçoive d'un dieu ce que l'homme, en ses limites, ne pouvait lui donner.