Archéologie de l'inaction. Pourquoi ne faisons-nous rien (ou presque) face à la catastrophe
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- Nombre de pages200
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.293 kg
- Dimensions15,2 cm × 22,9 cm × 1,5 cm
- ISBN979-10-370-3962-0
- EAN9791037039620
- Date de parution23/10/2024
- ÉditeurHermann
- PréfacierJean Jouzel
Résumé
Notre inaction face au climat constitue une énigme. Que s'est-il passé pour que nous nous retrouvions dans une situation où, sans mobilisation massive, plusieurs milliards de personnes pourraient disparaître d'ici la fin de ce siècle ? Une énigme, parce que ce risque est connu depuis des décennies. Une énigme surtout, car cette situation est le fruit de notre propre action. Pourquoi ce suicide collectif ? Et pourquoi cette inaction ? L'hypothèse posée ici est que les sociétés fonctionnent comme des organismes vivants, à la recherche d'énergie tout en optimisant leur consommation.
Les sciences cognitives nous proposent pour le comprendre un modèle efficace : l'inférence bayésienne, selon laquelle le cerveau est en quête permanente de lois à partir de ses observations. Sauf que ce mécanisme peut aussi être dysfonctionnel ; c'est le cas quand l'individu, fort de ses certitudes, ne met plus à jour sa représentation du monde. Ce livre revisite ainsi l'histoire, de Sapiens aux marchés financiers, à la recherche de ces moments de sur-confiance qui sont à l'origine de tant de fragilités.
Cette " boîte-à-outils " peut alors être remobilisée pour proposer un nouveau rapport à la nature, collectif et de responsabilité, qui, par écho, s'étend aux êtres humains entre eux.
Les sciences cognitives nous proposent pour le comprendre un modèle efficace : l'inférence bayésienne, selon laquelle le cerveau est en quête permanente de lois à partir de ses observations. Sauf que ce mécanisme peut aussi être dysfonctionnel ; c'est le cas quand l'individu, fort de ses certitudes, ne met plus à jour sa représentation du monde. Ce livre revisite ainsi l'histoire, de Sapiens aux marchés financiers, à la recherche de ces moments de sur-confiance qui sont à l'origine de tant de fragilités.
Cette " boîte-à-outils " peut alors être remobilisée pour proposer un nouveau rapport à la nature, collectif et de responsabilité, qui, par écho, s'étend aux êtres humains entre eux.
Notre inaction face au climat constitue une énigme. Que s'est-il passé pour que nous nous retrouvions dans une situation où, sans mobilisation massive, plusieurs milliards de personnes pourraient disparaître d'ici la fin de ce siècle ? Une énigme, parce que ce risque est connu depuis des décennies. Une énigme surtout, car cette situation est le fruit de notre propre action. Pourquoi ce suicide collectif ? Et pourquoi cette inaction ? L'hypothèse posée ici est que les sociétés fonctionnent comme des organismes vivants, à la recherche d'énergie tout en optimisant leur consommation.
Les sciences cognitives nous proposent pour le comprendre un modèle efficace : l'inférence bayésienne, selon laquelle le cerveau est en quête permanente de lois à partir de ses observations. Sauf que ce mécanisme peut aussi être dysfonctionnel ; c'est le cas quand l'individu, fort de ses certitudes, ne met plus à jour sa représentation du monde. Ce livre revisite ainsi l'histoire, de Sapiens aux marchés financiers, à la recherche de ces moments de sur-confiance qui sont à l'origine de tant de fragilités.
Cette " boîte-à-outils " peut alors être remobilisée pour proposer un nouveau rapport à la nature, collectif et de responsabilité, qui, par écho, s'étend aux êtres humains entre eux.
Les sciences cognitives nous proposent pour le comprendre un modèle efficace : l'inférence bayésienne, selon laquelle le cerveau est en quête permanente de lois à partir de ses observations. Sauf que ce mécanisme peut aussi être dysfonctionnel ; c'est le cas quand l'individu, fort de ses certitudes, ne met plus à jour sa représentation du monde. Ce livre revisite ainsi l'histoire, de Sapiens aux marchés financiers, à la recherche de ces moments de sur-confiance qui sont à l'origine de tant de fragilités.
Cette " boîte-à-outils " peut alors être remobilisée pour proposer un nouveau rapport à la nature, collectif et de responsabilité, qui, par écho, s'étend aux êtres humains entre eux.


