Après la chrétienté. Pour un christianisme non religieux
Par :Formats :
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
- Nombre de pages202
- PrésentationBroché
- Poids0.185 kg
- Dimensions11,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN2-7021-3432-7
- EAN9782702134320
- Date de parution17/02/2004
- Collectionpetite bibliothèque des idées
- ÉditeurCalmann-Lévy
- TraducteurFrank La Brasca
Résumé
La mort de Dieu et la sécularisation ont paradoxalement, ouvert à la religion un espace nouveau, immédiatement envahi par les néo-mysticismes de masse, mais également investi par un christianisme rénové, parce qu'enfin libéré de toute hypothèque fondamentaliste. " Dieu est mort ", écrit Nietzsche, parce que ses fidèles l'ont tué - c'est-à-dire ont appris à ne pas mentir parce qu'il le leur ordonnait, et qu'ils ont fini par découvrir que Dieu lui-même était un mensonge superflu. Mais cette proposition, à la lumière de notre expérience postmoderne, signifie que c'est justement parce que l'existence d'un Dieu-Fondement ultime, c'est-à-dire la structure de la métaphysique absolue du réel, ne peut plus être soutenue que, précisément, il est à nouveau possible de croire en Dieu. " G. Vattimo
La mort de Dieu et la sécularisation ont paradoxalement, ouvert à la religion un espace nouveau, immédiatement envahi par les néo-mysticismes de masse, mais également investi par un christianisme rénové, parce qu'enfin libéré de toute hypothèque fondamentaliste. " Dieu est mort ", écrit Nietzsche, parce que ses fidèles l'ont tué - c'est-à-dire ont appris à ne pas mentir parce qu'il le leur ordonnait, et qu'ils ont fini par découvrir que Dieu lui-même était un mensonge superflu. Mais cette proposition, à la lumière de notre expérience postmoderne, signifie que c'est justement parce que l'existence d'un Dieu-Fondement ultime, c'est-à-dire la structure de la métaphysique absolue du réel, ne peut plus être soutenue que, précisément, il est à nouveau possible de croire en Dieu. " G. Vattimo