Applications et implications en sciences du langage
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- Nombre de pages332
- PrésentationBroché
- Poids0.465 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-296-02743-5
- EAN9782296027435
- Date de parution01/02/2007
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les objets, les terrains, les théories des linguistes sont multiples. Cette pluralité s'accompagne d'une pluralité de positionnements et d'applications possibles. Dans le monde anglo-saxon, le domaine extrêmement développé des "applied linguistics" - de la didactique à la terminologie en passant par l'analyse de discours, l'acquisition, la linguistique de corpus ou la conception assistée par ordinateur - recouvre l'intégralité des retombées sociales des sciences du langage.
Il n'en est pas de même en France où la réflexion dans ce domaine nous semble peu théorisée. Que fait-on quand on intervient ? Que fait-on lorsqu'on va sur le terrain pour obtenir des données, qu'on propose un " retour aux acteurs " ou qu'on transmet des résultats, lorsqu'on enseigne, conseille ou expertise ? Pour qui intervient-on, pour quoi le fait-on, jusqu'où peut-on ou veut-on aller lors d'interventions linguistiques ? De quels outils théoriques et épistémologiques a-t-on besoin ? Comment éviter le piège de l'"applicationnisme" irraisonné ? Généraliser des interventions, c'est également voir émerger des métiers liés aux sciences du langage.
Quelles formations peut-on envisager pour ces métiers ? Quels décalages entre des demandes du terrain et des propositions des linguistes ? Comment les gérer ? Voici quelques-unes des questions que pose cet ouvrage.
Il n'en est pas de même en France où la réflexion dans ce domaine nous semble peu théorisée. Que fait-on quand on intervient ? Que fait-on lorsqu'on va sur le terrain pour obtenir des données, qu'on propose un " retour aux acteurs " ou qu'on transmet des résultats, lorsqu'on enseigne, conseille ou expertise ? Pour qui intervient-on, pour quoi le fait-on, jusqu'où peut-on ou veut-on aller lors d'interventions linguistiques ? De quels outils théoriques et épistémologiques a-t-on besoin ? Comment éviter le piège de l'"applicationnisme" irraisonné ? Généraliser des interventions, c'est également voir émerger des métiers liés aux sciences du langage.
Quelles formations peut-on envisager pour ces métiers ? Quels décalages entre des demandes du terrain et des propositions des linguistes ? Comment les gérer ? Voici quelques-unes des questions que pose cet ouvrage.
Les objets, les terrains, les théories des linguistes sont multiples. Cette pluralité s'accompagne d'une pluralité de positionnements et d'applications possibles. Dans le monde anglo-saxon, le domaine extrêmement développé des "applied linguistics" - de la didactique à la terminologie en passant par l'analyse de discours, l'acquisition, la linguistique de corpus ou la conception assistée par ordinateur - recouvre l'intégralité des retombées sociales des sciences du langage.
Il n'en est pas de même en France où la réflexion dans ce domaine nous semble peu théorisée. Que fait-on quand on intervient ? Que fait-on lorsqu'on va sur le terrain pour obtenir des données, qu'on propose un " retour aux acteurs " ou qu'on transmet des résultats, lorsqu'on enseigne, conseille ou expertise ? Pour qui intervient-on, pour quoi le fait-on, jusqu'où peut-on ou veut-on aller lors d'interventions linguistiques ? De quels outils théoriques et épistémologiques a-t-on besoin ? Comment éviter le piège de l'"applicationnisme" irraisonné ? Généraliser des interventions, c'est également voir émerger des métiers liés aux sciences du langage.
Quelles formations peut-on envisager pour ces métiers ? Quels décalages entre des demandes du terrain et des propositions des linguistes ? Comment les gérer ? Voici quelques-unes des questions que pose cet ouvrage.
Il n'en est pas de même en France où la réflexion dans ce domaine nous semble peu théorisée. Que fait-on quand on intervient ? Que fait-on lorsqu'on va sur le terrain pour obtenir des données, qu'on propose un " retour aux acteurs " ou qu'on transmet des résultats, lorsqu'on enseigne, conseille ou expertise ? Pour qui intervient-on, pour quoi le fait-on, jusqu'où peut-on ou veut-on aller lors d'interventions linguistiques ? De quels outils théoriques et épistémologiques a-t-on besoin ? Comment éviter le piège de l'"applicationnisme" irraisonné ? Généraliser des interventions, c'est également voir émerger des métiers liés aux sciences du langage.
Quelles formations peut-on envisager pour ces métiers ? Quels décalages entre des demandes du terrain et des propositions des linguistes ? Comment les gérer ? Voici quelques-unes des questions que pose cet ouvrage.